Ferrari et Mercedes présentes dans la saison 2 de Drive to Survive
Le documentaire Netflix devrait compter les 10 équipes
La deuxième saison de Drive to Survive, le documentaire de Netflix sur la Formule 1, est en cours de production et sortira en début d’année prochaine sur la plateforme de streaming, comme ce fut le cas pour la première saison.
Cette dernière avait été marquée par l’absence de Mercedes et Ferrari, mais il semblerait que les deux équipes aient décidé de jouer le jeu pour la deuxième saison et pourraient ainsi apparaître dans le documentaire. C’est Mattia Binotto, le directeur de Ferrari, qui le confirme.
"C’était clairement un programme intéressant" avoue Binotto, qui s’est penché sur le sujet. "Nous n’avons pas participé la saison dernière mais nous y réfléchissons maintenant."
La première saison avait mis en valeur Günther Steiner, très franc et sans filtre devant les caméras de Netflix, et le directeur de Haas pense que c’est bénéfique pour la F1 : "Ça devrait aider à amener les gens qui normalement ne regardent pas les courses. Il y a plus de gens regardant Netflix que la F1, je pense."
Nouveau : comment suivre au mieux l’actualité de notre site ?
Via notre nouvelle chaîne WhatsApp Nextgen-Auto.com !
Vous abonner (cliquez sur l’étoile pour mettre en favori) à notre Google News si vous utilisez l’appli Google Actualités sur votre smartphone.
Ferrari
- Leclerc taquine Gasly après l’annonce de ses fiançailles
- ’Pas grand-chose ne manque’ à Ferrari : il faut du temps pour Vasseur
- Hamilton perd son ingénieur ’performance’ chez Ferrari
- Le GP du Brésil sera ’un test intéressant’ pour Ferrari avant la fin de saison
- Ecclestone juge Vasseur ’trop faible’ car il n’est ’pas un dictateur’
Mercedes F1
- Russell s’attend à un pas en avant d’Antonelli en 2026
- Mercedes F1 veut ’riposter’ face à Ferrari et Red Bull dès le Brésil
- Ralf Schumacher tacle Russell, défend Verstappen et McLaren
- Wolff revient sur Abu Dhabi 2021 : ’un fou a détruit le record du plus grand champion de tous les temps’
- Rumeurs, clauses et pression : comment Russell a tenu le cap chez Mercedes F1