Wolff : Bottas a été ’en pleine tempête’ lors du GP de Turquie
Le Finlandais était "dans une spirale" négative
Toto Wolff a tenu à défendre Valtteri Bottas après la course très compliquée du Finlandais en Turquie. Neuvième au départ, il a harponné Esteban Ocon dans le premier tour, et a connu une course désastreuse après cela.
Au volant d’une Mercedes W11 abîmée, il a fait six tête-à-queue et a terminé 14e. Le pire pour Bottas a très certainement été de voir Lewis Hamilton lui prendre un tour, avant d’être sacré champion du monde.
"Je pense qu’il a souffert de ce dont ont souffert beaucoup d’autres pilotes, les pneus n’étaient jamais dans la bonne fenêtre de température" a déclaré Wolff. "Il y a eu d’autres pilotes, comme Max je pense, il a fait trois tête-à-queue."
"Dieu sait combien d’autres ont fait de tête-à-queue. Une fois que vous êtes dans cette spirale, c’est très difficile de vous remettre dans une bonne position mentalement, et je pense que tout est arrivé en même temps pour lui, il était en pleine tempête."
Pour Wolff, Bottas n’en reste pas moins l’équipier idéal pour Hamilton, l’Autrichien estimant que les deux hommes se complètent parfaitement : "J’aime Valtteri et Lewis, leur duo fonctionne bien."
"Quand Lewis a eu une mauvaise journée, Valtteri s’en tire bien, et l’inverse est aussi valable, quand Valtteri a une mauvaise journée, Lewis gagne la course. Je pense que la combinaison des deux fonctionne très bien pour l’équipe."
Nouveau : comment suivre au mieux l’actualité de notre site ?
Via notre nouvelle chaîne WhatsApp Nextgen-Auto.com !
Vous abonner (cliquez sur l’étoile pour mettre en favori) à notre Google News si vous utilisez l’appli Google Actualités sur votre smartphone.
Mercedes F1
- Russell s’attend à un pas en avant d’Antonelli en 2026
- Mercedes F1 veut ’riposter’ face à Ferrari et Red Bull dès le Brésil
- Ralf Schumacher tacle Russell, défend Verstappen et McLaren
- Wolff revient sur Abu Dhabi 2021 : ’un fou a détruit le record du plus grand champion de tous les temps’
- Rumeurs, clauses et pression : comment Russell a tenu le cap chez Mercedes F1