Colapinto s’inquiète de ’manquer de confiance’ en l’Alpine A525 avant Monaco
"Je n’ai pas encore fait de circuit urbain alors j’avance pas à pas"

Franco Colapinto est conscient qu’il aura un grand défi à relever ce week-end à Monaco, pour sa deuxième course avec Alpine F1. Néanmoins, ce n’est pas le premier défi de ce genre qu’il relève, puisque ses deuxième et troisième courses en Formule 1 l’an dernier étaient à Bakou et Singapour avec Williams.
"Je pense que Monaco, Bakou et Singapour sont des circuits où la confiance doit être très élevée, et vous devez gagner en confiance pendant les tours ou les séances, et ce n’est pas très simple" explique Colapinto.
"C’est d’autant moins évident pour moi qu’il me manque encore un peu de confiance avec la voiture, ce qui est normal après un seul week-end de course. Il y a beaucoup de rythme et il faut beaucoup de confiance dans la voiture."
"Ici, où vous frôlez les murs à chaque virage, vous avez besoin de cela et je pense que cela va venir un peu après les EL1, encore plus après les EL2, et juste continuer à progresser comme je l’ai fait à Imola. Je suis parti un peu loin de la limite en EL1, mais je me suis rapproché de plus en plus jusqu’à la fin des EL3."
L’Argentin explique comment il s’est préparé à cette course difficile : "Beaucoup de simulateur, et l’équipe a été bonne pour me mettre dans la bonne direction et me donner des priorités. Il faut mettre la voiture dans la bonne fenêtre, être en confiance et ce sera une bonne course."
Alors qu’il était un peu en difficulté à Imola, il rappelle l’ampleur du défi qui l’attend : "Ce qui me manque, c’est de faire plus de courses. Je n’ai fait qu’une seule course et j’ai probablement passé quatre heures dans la voiture, mais les autres gars ont déjà fait sept courses dans l’année, donc j’ai quelques courses de retard."
"Je n’ai pas encore fait de circuit urbain, alors j’avance pas à pas. J’ai besoin d’acquérir de la confiance, et cela se fait au fil des tours. J’apprends juste à connaître la voiture, à m’habituer à ses limites, et je pense que le seul moyen d’améliorer cela est de piloter."
"Il y a des choses que j’aimais dans une équipe, il y a des choses que j’aime dans la nouvelle équipe. Vous avez des expériences différentes, et je pense que c’est ce qui arrive à Carlos [Sainz], c’est ce qui arrive à Lewis [Hamilton]. Et ils pilotent depuis tant d’années."
Mais Colapinto n’est pas inquiet car Alpine l’aide grandement : "L’équipe me soutient beaucoup, c’est génial. Nous travaillons vers ce dont nous avons besoin et vers ce qu’il nous faut pour progresser. Le week-end a été bon à Imola, il y a encore des choses à apprendre mais je suis heureux d’être ici."
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