Ben Sulayem : Il y aura plusieurs directeurs de course en F1

"Mais il est certain qu’il y aura du sang neuf et qu’il y en aura plus d’un [directeur de course]. C’est sûr."

"Il y a eu des gens qui ont appris, il y a eu des gens qui ont travaillé en coulisses tout le temps. On ne peut pas simplement lancer quelqu’un dans ce grand défi."

"Et puis les équipes peuvent se plaindre, les pilotes peuvent se plaindre, mais ensuite ils ne veulent pas payer pour ça."

"Je suis très, très honnête et direct avec vous, cela demande beaucoup d’investissement."

"Il nous a fallu plus de deux ans et demi pour arriver là où nous sommes aujourd’hui. Avons-nous les résultats ? Nous les connaîtrons au début de la saison."

"C’est très important. Et si le directeur de course décide de ne pas y aller ou s’il tombe malade ?"

"C’est la même chose que pour la FIA. Si quelque chose m’arrive demain, la FIA continuera à fonctionner sans moi, donc cela doit être un système. Il ne s’agit pas d’individus."

"Il y a beaucoup d’erreurs et ensuite vous blâmez la FIA. C’est facile de blâmer la FIA. Pourquoi ne pouvez-vous pas être productifs dans vos critiques et dire : « Comment pouvons-nous trouver une solution ? »"

"Mais où est la solution ? La solution réside dans la formation, la solution consiste à faire venir des gens."

"Est-ce une question de diversité ? Non, nous parlons de diversité et nous voulons qu’ils disent : « Vous apportez ceci de tel pays, ou de cette femme, ou d’autre chose »."

"Nous n’avons pas de femmes juste parce que nous devons en prendre 30 % ou je ne sais combien. Nous prenons des femmes sur la base du mérite et de la crédibilité parce qu’elles sont bonnes dans ce qu’elles font, pas à cause d’un quota."

"Nous embauchons des personnes non européennes d’autres pays parce qu’elles sont bonnes, qu’elles sont formées, qu’elles ont la passion de la compétition, pas parce que je dois avoir telle couleur, telle religion."