Szafnauer défend la politique de Racing Point en termes de tests Covid-19

Racing Point a encore été au centre des polémiques ces derniers jours lorsque la F1 a appris que Lance Stroll était bien positif au Covid-19 en Allemagne mais son test a été retardé jusqu’au dimanche de la course.

Le Québécois avait bien manqué le week-end suite à ses symptômes mais la FIA a rappelé l’équipe à l’ordre concernant les protocoles à suivre et les personnes à prévenir en cas de test positif.

Pour Otmar Szafnauer, il est surtout important de mettre ces polémiques "derrière nous" et vor que son pilote est bien à 100%.

"Lance se sent bien, il est à cent pour cent, physiquement et mentalement. Il a été testé positif le dimanche du Grand Prix en Allemagne, ce qui signifiait que son isolement de dix jours s’est terminé à temps pour venir ici et courir, avec une préparation normale, donc cela n’a pas eu d’impact en dehors de la mise en quarantaine pour dix jours."

Mais une autre rumeur circule au Portugal : Racing Point aurait caché un cas de positivité au Covid-19 d’un ingénieur, à l’issue du Grand Prix de Russie. Szafnauer se défend vigoureusement et explique la politique en vigueur au sein de son équipe pour les tests, en complément des protocoles de la FIA.

"Non, c’est une rumeur ! Nous n’avons pas eu de test positif pour un ingénieur après la Russie. Je pense que nous avons maintenant effectué près de 20 000 tests dont 15 000 à l’usine et ici, en piste, nous testons plus que ce qui est recommandé."

"Nous avons eu nos deux pilotes positifs et quelques membres à l’usine mais c’est tout. Nous testons plus que toute autre entreprise, plus que toute autre équipe de Formule 1 sur la planète ! Nous testons tous nos employés tous les mardis et tous les vendredis et nous testons tous ceux qui se trouvent en piste comme à leur retour en Grande-Bretagne. Ainsi, tous les lundis, lorsque notre avion atterrit, nous avons des tests, donc tout le monde a l’esprit tranquille quand il rentre chez lui avec sa famille, c’est pourquoi je sais que nous n’avions pas de cas positif après la Russie."