Perez vise plutôt un retour en F1 qu’un passage en Formule E
"De nombreux pilotes l’ont fait et ils reviennent plus forts"

Rien n’empêche Sergio Perez de revenir en Formule 1 après une année sabbatique.
C’est l’avis de son père Antonio Perez Garibay, un homme politique mexicain qui a joué un rôle central dans la carrière de l’ancien pilote Red Bull.
Pour l’instant, ayant perdu son baquet pour 2025, Perez insiste sur le fait qu’il est heureux d’être à la maison avec sa jeune famille et qu’il ne prend aucune décision concernant son prochain défi pendant six mois.
Son père, cependant, a récemment évoqué l’idée d’un passage en Formule E. Mais il reconnait que Perez est heureux pour l’instant.
"Checo fait du karting depuis qu’il a 8 ans et des courses de voitures tous les week-ends jusqu’à aujourd’hui, date à laquelle il a arrêté de participer à la Formule 1."
"Sinon, il aurait dû s’occuper cet hiver de toute la question de l’entraînement, en plus des combinaisons, des casquettes, de toute la question des sponsors, du merchandising. Aujourd’hui, il y a donc un peu de détente. Il y va doucement."
"Comme il l’a dit, il attendra ces six mois. Et si une bonne opportunité se présente, il la saisira."
Perez Garibay s’éloigne désormais de son allusion précédente à un passage en Formule E, laissant plutôt entendre que l’idée d’une année sabbatique hors de la Formule 1 est la piste privilégiée.
"J’ai évoqué la Formule E parce que j’y suis allé récemment et on m’a confié que Checo y serait très bien accueilli. C’est donc certainement une option, comme d’autres, s’il ne retourne pas en F1."
"Mais la F1 reste son rêve, son envie, c’est ce qu’il vise en premier pour son retour à la compétition. Regardez combien de pilotes de Formule 1 ont pris une ou plusieurs années sabbatiques et sont revenus. Niki Lauda l’a fait, Kimi Raikkonen l’a fait, Fernando Alonso l’a fait. De nombreux pilotes l’ont fait et ils reviennent plus forts que jamais."
"Je n’ai aucun doute qu’une bonne opportunité se présentera pour Checo de revenir pour plusieurs années supplémentaires. Il mérite de dire au revoir comme les grands."
