Bearman va tout faire pour devenir titulaire chez Ferrari
"Je me suis fait une promesse à moi-même"

Oliver Bearman s’est promis de revenir dans l’équipe Ferrari dans un avenir proche si son passage chez Haas F1 s’avère fructueux.
L’Anglais, pilote junior de la Ferrari Academy, a impressionné la F1 lors de ses remplacements cette saison, notamment celui de Carlos Sainz en Arabie saoudite, lorsque l’Espagnol a dû être opéré d’urgence d’une appendicite. Et ses deux premiers Grands Prix pour Haas F1 à la place de Kevin Magnussen (suspendu pour une course, malade lors d’une autre) ont confirmé son statut de futur rookie prometteur.
Alors Bearman a révélé qu’il s’était "fait une promesse à moi-même : revenir piloter en F1 au sein de la Scuderia."
"Pour moi, grandir et courir avec Ferrari a été la plus grande fierté de ma carrière. J’espère pouvoir à nouveau porter du rouge très bientôt."
Il est conscient que "l’avenir immédiat tourne autour de Lewis et Charles. Mais j’ai quelques années pour apprendre avec Haas F1."
En repensant à son premier jour à l’usine Ferrari de Maranello, Bearman a ajouté : "Je m’en souviens comme si c’était hier."
"Le fait que toute la ville tourne autour de Ferrari est une chose incroyable à voir. Ce jour-là, nous avons vu le circuit de Fiorano et le siège de la Scuderia."
"Je me souviens avoir regardé autour de moi en rêvant de conduire sur cette piste en portant l’emblème du Cheval Cabré et en pensant que si je réussissais bien, si je faisais plus d’efforts que quiconque, j’y arriverais."
Nouveau : comment suivre au mieux l’actualité de notre site ?
Via notre nouvelle chaîne WhatsApp Nextgen-Auto.com !
Vous abonner (cliquez sur l’étoile pour mettre en favori) à notre Google News si vous utilisez l’appli Google Actualités sur votre smartphone.

Ferrari
- Vasseur sait comment Ferrari doit surmonter ’le lot de défis’ du Mexique
- Hamilton et Ferrari : l’espoir grandit mais le podium lui résiste encore
- Hamilton laissera son volant en Libres 1 au Mexique à un vainqueur des 24h du Mans
- Hamilton raconte le problème qui a failli lui coûter la quatrième place
- Sous pression, Leclerc signe un podium synonyme d’unité chez Ferrari