Leclerc suggère que les vibreurs définissent les limites de piste en F1
La meilleure solution pour mettre fin au débat selon lui
Cette saison, notamment lors du Grand Prix d’Autriche, le sujet des limites de piste a beaucoup fait parler dans le paddock.
Sur le Red Bull Ring, outre les nombreuses pénalités de temps qui étaient distribuées aux pilotes, Sergio Perez passait en Q3 avant que la FIA ne juge que le Mexicain avait finalement franchi la ligne blanche avec ses quatre roues, ce qui entrainait l’annulation de son temps.
C’est ensuite l’opposé qui se produisait pour le même pilote quelques courses plus tard en Hongrie : Perez récupérait cette fois son temps de la Q2 après que l’instance dirigeante du sport se soit rendue compte qu’il était bien resté à l’intérieur des limites de la piste lors de sa tentative.
Mais quelle solution pourrait alors être adoptée pour mettre fin à ce débat ? Charles Leclerc y est allé de sa suggestion : le pilote Ferrari propose que ce soient les vibreurs existant dans les virages posant le plus de problèmes qui définissent les limites de piste, et il appelle ainsi à ne pas les retirer.
"Je pense que la meilleure solution, ou du moins celle que je préfère, serait que le vibreur définisse la limite, car au moins nous pouvions le sentir," lance Leclerc.
"Parfois, l’année dernière, nous utilisions le vibreur comme référence pour les limites de la piste car vous le ressentiez dans le volant, notamment quand vous arriviez au bord du vibreur. C’est bien plus facile d’être très, très précis de cette façon."
"Nous sommes si bas, à 5 centimètres du sol, et en tant que pilotes nous ne voyons ainsi pas bien la ligne blanche. Ce qui fait que c’est difficile à juger."
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