Un accord de principe pour le retour du GP de Turquie
Il ne manque que la signature
La Turquie souhaite revenir au calendrier de la Formule 1 et, pour cela, une rencontre a eu lieu hier au palais présidentiel entre Chase Carey, le nouveau patron de la F1 et représentant Liberty Media, le président turc Recep Tayyip Erdogan et le directeur du circuit d’Istanbul, Vural Ak.
Le Grand Prix de Turquie s’est tenu de 2005 à 2011 puis a été abandonné par le gouvernement, faute de financements.
Selon Vural Ak, la confiance règne maintenant après cette réunion de travail, même si rien n’a été signé.
"J’espère que, grâce à l’aide du président, le circuit d’Istanbul Park pourra à nouveau accueillir le Grand Prix de Turquie. Ces réunions ont été très intenses, cependant rien n’est signé pour l’instant. Il y a un accord de principe. Mais effectivement, il ne manque plus qu’une signature."
Le retour éventuel du GP de Turquie (en 2018 ?) est évidemment perçu comme un geste politique avant tout, afin de replacer Erdogan sur la scène internationale. Il avait mal vécu la perte des JO de 2020 en faveur de Tokyo.