Ricciardo pense que Red Bull peut bien faire à Sotchi

Daniel Ricciardo est en désormais à trois arrivées consécutives à la quatrième place, ce qui lui permet de pointer à la 3e place du championnat. Même si le circuit de Sotchi ne devrait en théorie pas convenir à sa voiture, la forme affichée par Red Bull depuis le début de la saison lui laisse quand même bon espoir.

« Sotchi ne correspond pas vraiment à l’image que je me faisais de la Russie. Tout d’un coup j’ai vu une belle plage bleue, qui m’a donné l’impression d’être en vacances. Ils ont en outre des installations très modernes avec le Parc Olympique. »

« Cette piste ne nous a pas vraiment convenu lors des deux premières éditions, mais depuis le début de l’année nous avons eu de bonnes courses sur des pistes qui n’étaient pas censées nous convenir, donc nous verrons bien ce qu’il adviendra. Par le passé il n’y avait pas beaucoup d’adhérence ici, cela s’est amélioré l’an dernier mais ça reste très glissant, et étant donné que l’usure des pneus n’est pas très importante, nous ne faisons pas beaucoup d’arrêts aux stands. »

« Il n’y a pas beaucoup de dénivelé ici contrairement à ce qui existe sur beaucoup de pistes. De plus les virages sont très à plat ce qui rend ce circuit unique. Je suis impatient d’y être à nouveau. »

Comme d’habitude, Ricciardo mettra un point d’honneur à profiter de la cuisine locale, mais cette année il aimerait aussi pouvoir visiter un peu plus les environs, et pour ça il compte sur le local de l’étape, son coéquipier Daniil Kvyat.

« Dans l’hôtel où nous nous rendons il y a un restaurant très sympa appelé Fellini. Mais nous passons beaucoup de temps sur le circuit et donc nous n’aurons pas vraiment l’occasion de voir autre chose. Je vais quand même essayer de visiter un peu cette année, et d’obtenir des conseils auprès de Dany. »

« Je pense que Dany va avoir une semaine très chargée mais je ne pense pas que ce soit comparable à ce que j’ai vécu en Australie, qui est la première course de la saison, avec énormément de médias. Je sais ce que ça fait : c’est une semaine en mode survie. »