Le futur du Grand Prix du Canada toujours incertain
Chacun cherche des compromis
La première ministre du Québec, Pauline Marois, et Bernie Ecclestone se sont rencontrés dimanche et ont discuté à propos de la pérennité du Grand Prix du Canada. Les dernières informations faisaient état de difficultés à assurer le Grand Prix après 2014 par la faute d’accords concernant le financement de l’évènement.
Mais Marois s’est montrée confiante après avoir rencontré l’argentier de la F1 : « Je lui ai dit que nous devions trouver un arrangement gagnant-gagnant, et je crois qu’il le veut aussi ». Les financements doivent être augmentés afin de répondre aux demandes de Bernie Ecclestone concernant la mise à niveau des installations vieillissantes sur le circuit Gilles Villeneuve.
« Je reste optimiste » a pour sa part déclaré le promoteur François Dumontier. « Les négoctiations avancent bien entre toutes les parties et nous sommes positifs ». Ecclestone s’est comme à son habitude montré intraitable : « J’aime Montréal et tout n’est pas perdu, mais je sais aussi que ce n’est pas la seule course au monde à vouloir sa place ».