Les pilotes MINI en reconnaissance en Grèce

mais ne prendront part au Rallye de l’Acropole

Par Franck Drui

15 juin 2011 - 17:20
Les pilotes MINI en reconnaissance (...)

Les pilotes officiels MINI WRC ont bouclé la première journée de reconnaissance en Grèce alors qu’ils ne doivent pas prendre part au Rallye de l’Acropole.

Dani Sordo et Kris Meeke ont profité de cette opportunité pour améliorer leur prise de notes en Championnat du Monde afin de prendre de l’avance sur leurs prochains rallyes. Pourtant, le Rallye de l’Acropole ne figurait pas au planning de six rallyes prévu par MINI WRC Team.

Après le premier jour des reconnaissances, ce mardi, Sordo s’est réjoui : « Les spéciales sont bien. Certaines sont dans le sens contraire aux autres fois. Mais elles sont extras. C’est agréable d’y piloter, à mon avis pas seulement pour les reconnaissances. »

Son coéquipier, Kris Meeke, continue : « Les spéciales sont vraiment, vraiment géniales. C’est dommage de ne pas pouvoir disputer ce rallye et qu’après les reconnaissances, il nous faille retourner à la maison. »

Les pilotes ont parcouru deux passages dans cinq spéciales différentes, spéciales qui seront parcourues vendredi. Ils ont aussi couvert les 17,71 km de la route de la spéciale Nea Politia, qui sera empruntée le samedi soir. Ces passages ont été de nouveau au programme ce mercredi.

Beaucoup de pilotes ont souligné que la spéciale d’Eleftherohori (18,10 km) était particulièrement difficile.

« La spéciale n°3 est vraiment difficile, conforme à ce qu’est le Rallye de l’Acropole », a commenté le pilote officiel Ford, Mikko Hirvonen, qui s’est imposé en Grèce en 2009.

Mads Östberg, pilote du team M-Sport Stobart, confie : « les spéciales sont compliquées, sur l’ES3. Il semble qu’il y a eu beaucoup de pluie les jours précédents. Le terrain n’est pas bon. »

Deuxième en Grèce l’an dernier, Sébastien Ogier continue : « L’ES 6 est très poussiéreuse, elle risque d’être très glissante. Sans ça, c’est extra. Mais il y aura beaucoup de balayage. »

Le pilote Ford Jari-Matti Latvala pense que les 39,10 km de la spéciale Elatia, à parcourir vendredi matin, sera un vrai test. « C’est très difficile et très exigeant », a-t-il commenté.

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