L’actualité de la F1 en quelques brèves

Vettel, Webber, Alguersuari, Alonso...

Par D. Thys

29 juillet 2011 - 10:46
L'actualité de la F1 en quelques

Vettel accepte de bon coeur que Webber reste en 2012

Mark Webber devrait prochainement signer une prolongation de son contrat avec Red Bull et Sebastian Vettel accueille cette éventualité avec bonne humeur.

"Vous êtes sûr ? En vérité je n’en sais rien," déclare Vettel sur le site officiel de la F1 lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de la prolongation du contrat de Webber.

"Si tout reste en l’état, je n’aurai pas besoin de m’habituer à la présence d’un autre pilote," ajoute le champion du monde.

"Ils ne seront jamais amis, mais ils ont de bonnes relations de travail," fait remarquer Helmut Marko, le conseiller de Red Bull pour le sport automobile.

Alguersuari se concentre sur le présent

Chez Toro Rosso la tension est à son maximum, car il y a de fortes chances que l’un des deux pilotes perde son volant à la fin de la saison pour faire de la place à l’Australien Daniel Ricciardo.

Lors de chaque Grand Prix, il est donc demandé à Jaime Alguersuari s’il est inquiet pour son avenir. "Pas du tout ! Pour quelle raison le serais-je ? Tout cela ne dépend pas de moi. Je ne vais pas gaspiller du temps à penser à des choses sur lesquelles je ne peux pas intervenir."

"La seule chose que je peux faire c’est mettre mon casque et faire de mon mieux. Je ne vais pas me mettre à penser à la voiture que j’aurai l’année prochaine, que ce soit une Ferrari, une Red Bull, une Toro Rosso ou une HRT. Ma seule préoccupation c’est de bien faire les choses aujourd’hui," ajoute le pilote espagnol.

Alonso a appris à vivre avec la F1

Fernando Alonso fête aujourd’hui son 30e anniversaire et cela fait une dizaine d’années qu’il fréquente les paddock de F1, mais cela fait partie de sa vie.

"J’ai appris à vivre avec elle, la Formule 1. Elle exige beaucoup, un dévouement total, de ton temps, physiquement, mentalement... La F1, c’est à moitié de la politique, à moitié du sport. Quand tu es bon en karting, il ne s’agit que du sport. Mais quand tu arrives ici... Ca te surprend un peu. Ca te dérange. Tu voudrais que tout soit plus transparent, plus propre. Ensuite, tu t’en accommodes. Et si tu l’acceptes, la F1 a quand même son charme. Mais les gens doivent savoir qu’ici, il y a de la politique et beaucoup d’intérêts différents," confie Alonso à l’AFP.

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