Les Force India manquent les points

Les pilotes Force India ont terminé le Grand Prix du Brésil aux onzième et treizième positions, après une lutte finale avec Esteban Gutierrez. Leur compteur de points ne bouge pas, mais Force India termine à la sixième places du classement des constructeurs, comme en 2011.

"La pluie légère a rendu la course compliquée mais amusante, avec de nombreux dépassements" explique Paul Di Resta. "Perdre six places au départ à cause du patinage a conditionné ma course et nous a mis au pied du mur, mais les performances de la voiture étaient solides et nous avons réussi une stratégie à deux arrêts. Nous avons décidé de rallonger les relais mais j’avais des difficultés avec les pneus durs et je n’ai pas pu me battre avec Ricciardo pour le point de la dixième place".

"Cependant, nous pouvons repartir satisfaits selon moi, avec ce que nous avons accompli aujourd’hui et cette année en général. Bien que j’ai raté un position dans les dix premiers au championnat, c’est une saison réussie, une aventure incroyable, et je veux dire un énorme merci à l’équipe pour le travail fait cette année" conclut l’Ecossais, dont il est probable qu’il ne prolongera pas chez Force India l’an prochain.

Son équipier a terminé dans ses roues, seulement séparé de l’autre Force India par la Sauber d’Esteban Gutierrez. "C’était une course difficile et j’espérais des points, mais ce n’était pas possible aujourd’hui" reconnaissait Sutil après la course. "Il tombait un peu de pluie pendant toute la course, mais j’étais sûr que la piste allait rester sèche. Le vrai problème était la dégradation des pneus puisque nous avons dû nous arrêter trois fois et ça a rendu la course aux points difficile".

"Dans les derniers tours je rattrapais une file de voitures devant moi mais je ne me suis pas assez rapproché pour changer ma position. Cette saison a été faite de hauts et de bas, mais je me rappellerai des meilleurs moments et du fait que l’équipe termine une nouvelle fois à la sixième place, ce qui est montre un bel effort de tout le monde" conclut l’Allemand.