La lenteur de la FIA sur les ailerons flexibles a ’frustré’ Vasseur

"Cela signifie que si vous commencez à faire un développement et qu’à la fin, c’est un échec, vous brûlez 600 000 euros. Nous avons eu cette discussion avec l’histoire de Red Bull il y a deux ans : ce n’est pas le fait de brûler un demi-million, c’est un demi-million sur 150 millions."

"C’est un demi-million sur trois ou quatre millions de développement, parce que vous avez vos gars, vous avez les coûts de course, vous avez ceci, ceci et cela et à la fin, vous avez le développement, et vous avez X millions de développement."

"Je ne suis pas sûr que lorsque vous avez six dixièmes d’écart entre les voitures, nous soyons si attentifs aux détails. Mais lors de courses comme celle de Monza, où quatre ou cinq voitures se tenaient en moins d’un dixième, le fait d’avoir un aileron flexible ou autre fait une énorme différence."

"Je pense que c’est plus la conséquence du fait que nous avons un règlement difficile et qu’il n’est pas facile de développer, mais aussi que le championnat devient de plus en plus serré. On ne peut pas refaire la saison. Et ce n’est pas la même approche."

"L’une est quelque chose que nous connaissions, et nous sommes un peu en retrait pour décider de l’adopter. L’autre est un développement, et nous ne nous attendions pas à avoir ce problème. Avec l’aileron, il s’agit simplement d’une approche mathématique."