L’agresseur présumé de Norris a été jugé non-coupable
Il avait été violenté pour le vol de sa montre
La personne accusée d’avoir agressé Lando Norris pour lui voler sa montre durant l’été 2021, après la finale de l’Euro de football, a été acquittée par la justice britannique. Malgré le fait que son ADN soit très probablement présent sur le bras du pilote McLaren F1, ce qu’il n’a su expliquer, Liam Williams a su s’extirper de la situation.
Accusé d’avoir agressé Norris, il a assuré que la montre était portée par quelqu’un d’autre lorsqu’il en a entendu parler. Williams a déclaré qu’il avait participé à une fête après la finale lorsque l’un des hommes qu’il avait emmenés à Londres l’a averti de ne pas parler de la montre volée.
"J’étais sur le balcon et j’étais en appel vidéo sur Instagram, discutant du match avec un ami de la maison et de ces gars qui avaient une montre, et l’un des gars m’a entendu et ça s’est un peu envenimé" a déclaré Williams.
Le procureur, Tyrone Silcott, a questionné Williams : "Donc, vous dites qu’à la fête, vous étiez sur Instagram et que vous parliez à quelqu’un d’avoir trouvé la montre ?"
Williams lui-même victime de l’agresseur ?
Williams a répondu : "Oui, j’étais en train d’appeler un ami par vidéo pour parler de football et nous avons parlé de la montre et quelqu’un m’a entendu en parler et une dispute s’est produite."
Il dit ensuite expliqué les conséquences que l’affaire de la montre auraient eues sur lui, accusant une autre personne d’avoir volé la montre et de l’avoir menacé : "Le mardi, j’ai vu plein d’appels téléphoniques. Un numéro m’a appelé dans la nuit et je ne savais pas qui c’était, mais il me parlait. C’était le même garçon avec qui je m’étais disputé."
"Il me disait de ne rien dire au sujet de la montre et de me taire et de ne rien dire de plus. Il a continué à se disputer avec moi au téléphone et le lendemain, il a fait la même chose et m’a menacé, et à ce moment-là, je me suis dit que j’allais devoir changer de numéro de téléphone."
"Et quand j’ai été arrêté, j’ai changé de numéro de téléphone. J’avais un peu peur de recevoir des menaces et d’autres choses. Ils me menaçaient et ils disaient qu’ils connaissaient mon nom."
L’accusé a finalement nié avoir volé la montre, et le tribunal l’a jugé innocent.
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