Qui console Webber après une dure journée ?

Ceux qui suivent ses aventures sur Twitter savent que Mark Webber a deux chiens. Il commence donc par nous les présenter : "J’adore passer du temps avec mes deux chiens, Simba et Shadow." Pourtant, dans son enfance, il n’avait pas d’animaux domestiques à proprement parler, comme il l’explique : "Ma famille avait des chiens en Australie dans mon enfance, mais ce n’étaient pas des animaux domestiques car ils ne vivaient pas avec nous, même si on s’en occupait très bien".

Ce n’est donc qu’en arrivant en Grande-Bretagne qu’il a enfin eu des chiens en tant qu’animaux domestiques. "Ce n’est qu’en arrivant au Royaume-Uni que j’ai vu combien les Britanniques sont passionnés par leurs animaux domestiques. Ma famille est étonnée chaque fois qu’elle vient et qu’elle voit combien mes chiens sont gâtés".

Et s’il les gâte autant, c’est qu’ils lui apportent beaucoup. "Simba et Shadow sont incroyablement loyaux. Ils sont copains et ils peuvent me remonter le moral quand j’ai eu une journée difficile, le lien est très fort." Vous savez donc maintenant qui a pu remonter le moral de Webber après le Grand Prix de Malaisie cette saison, par exemple... "J’ai toujours un sentiment de protection quand je suis avec mes chiens, qui veillent toujours sur moi."

Si Michael Schumacher disait à une époque que ses enfants l’aidaient à oublier la course, pour Mark Webber ce sont clairement ses chiens qui remplissent ce rôle à la perfection. "Une des premières choses que je fais quand je rentre à la maison après un week-end de course, perdu ou gagné, est de sortir les chiens pour une promenade du soir. C’est un super moyen de se détendre."

Et si jamais vous êtes un voisin de Mark Webber en Grande-Bretagne, sachez que quand vous entendez un de ses chiens aboyer à tue-tête sans s’arrêter, c’est que l’Australien est de retour ! "Tout le monde dans la maison sait quand je suis rentré parce que dès que je les vois, les chiens font un bruit assez impressionnant. On dirait que Simba essaie de me dire tout ce qu’il a fait quand j’étais parti !"