Le mental, une faiblesse que Leclerc a transformé en force
Le Monégasque explique le processus
Charles Leclerc explique que lors de ses débuts en sport automobile, et notamment en karting, il était moins prêt à résister mentalement aux aléas du sport et aux coups durs qu’il pouvait parfois rencontrer. Après son problème mécanique l’ayant privé d’une première victoire à Bahreïn, il confirme que c’est devenu une de ses forces.
"Je pense qu’au final, ma résistance mentale était une faiblesse en karting, et j’ai travaillé dur pour être aussi prêt que possible lorsqu’une chance en F1 se présenterait" se souvient Leclerc à Shanghai.
"Je pense que c’est maintenant une de mes forces et je suis très heureux d’avoir travaillé aussi dur. Ce n’était pas si compliqué. Le dimanche à Bahreïn, ça a été un moment décevant, donc c’est toujours difficile, mais ça arrive et si nous pouvons terminer troisième à chaque fois qu’on a un problème, on a de quoi être heureux."
Il avoue mieux contrôler ses émotions grâce à un entraînement spécifique sur le plan mental.
"C’est difficile à expliquer car on s’entraîne avec des capteurs sur la tête qui nous disent ce qu’il s’y passe."
"C’est difficile à décrire mais on s’entraîne face à un ordinateur et on essaie de comprendre ce qu’il se passe dans notre tête. J’étais confiant avant sur ce qu’il se passait mais je ne comprenais pas ce qu’il se passait. On se découvre soi-même et on se contrôle mieux."
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