Leclerc : Certaines de mes erreurs piquent encore un peu
Bakou, l’Allemagne, le Monégasque y pense encore
Charles Leclerc n’a pas fait un début de carrière chez Ferrari sans faute, loin de là. Le Monégasque est même passé à côté du sujet en plusieurs occasions, avec quelques fautes marquantes notamment à Bakou en qualifications, en Allemagne en course ou encore en Hongrie, là aussi en qualifications.
"Ces erreurs me pèsent encore, parce que je suis dur avec moi-même," explique le pilote Ferrari.
"Pas seulement celle de l’Allemagne, parce que je suis sorti sous la pluie, mais celle de Bakou pique encore beaucoup parce que c’était mon week-end. Cela a été dur à encaisser, ça l’est toujours dans mon cas quand je sais que c’est de ma faute."
N’est-ce pas là un résultat de la pression à être pilote pour Maranello ?
"Oui, cela requiert de la concentration, de la détermination, de l’implication. Avec le temps, on s’habitude mais porter la combinaison rouge de la Scuderia reste toujours spécial. Après, une fois en piste, la pression est la même, parce que vous êtes dans votre bulle et vous ne pensez qu’à faire de votre mieux."
Cela rappelle une anecdote d’ailleurs à Leclerc.
"Je me souviens la première fois que je suis allé à Maranello, j’étais avec Jules Bianchi. Il n’était pas encore en F1 mais il allait entrer dans l’académie. Je devais l’attendre dehors parce que je n’avais pas de pass. J’ai regardé cette grande porte d’entrée en espérant qu’un jour je puisse enfin la franchir. Maintenant, je la passe souvent et c’est toujours beaucoup d’émotion."
Ferrari
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