Le pilote de la voiture de sécurité de F1 répond à Verstappen
"Je ne pouvais pas faire grand-chose"
Après le Grand Prix d’Australie, Max Verstappen a critiqué la voiture de sécurité, l’Aston Martin Vantage pilotée par Bernd Maylander, pour sa lenteur lors de ses interventions en piste, ce qui rend difficile la tenue des pneus à température.
Cette année, Mercedes a remplacé son AMG GT-R par une AMG GT-R Black Series, nettement plus rapide, afin d’éviter que les F1 ne refroidissent trop leurs pneus. Mais la Vantage est la même que l’an dernier, et elle concède jusqu’à cinq secondes à la Mercedes sur un circuit comme l’Albert Park.
"Je suis bien conscient des critiques de pilotes comme Verstappen, mais je ne pouvais pas faire grand-chose" assure Maylander, se défendant de pouvoir faire mieux avec la Vantage. "C’est bien que Charles ait vu que j’étais absolument à la limite. C’est tout ce que je pouvais faire."
Leclerc a minimisé la critique en expliquant qu’il voyait la sportive britannique à la limite de ses capacités devant lui. Le pilote Ferrari a voulu s’en plaindre à la radio avant de se raviser en voyant les efforts que déployait Maylander pour accélérer.
"Pour être honnête, je voulais me plaindre" a déclaré le leader du championnat. "Mais ensuite, j’ai vérifié à quel point la voiture de sécurité glissait dans les virages et je ne pense pas qu’il y avait quelque chose de plus qu’il pouvait donner, donc je ne voulais pas mettre trop de pression."
FIA
Un ancien commissaire de la FIA juge ’les plaintes d’Alonso légitimes’
Pénalités en F1 : Plus de sévérité demandée après le week-end de Magnussen
Alonso a rencontré deux fois le président de la FIA à Miami
Officiel : La FIA refuse le droit de révision de la pénalité d’Alonso
+ sur FIA