En cas d’appel d’offres, la FIA fixe la limite à 12 équipes en F1
Ben Sulayem calme un peu le jeu et n’ira pas jusqu’à 13
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L’opposition à l’expansion de la grille actuelle de la F1 se résume en grande partie aux finances, car bien qu’il y ait des frais anti-dilution de 200 millions de dollars pour les nouveaux entrants à payer, qui seront répartis pour les équipes existantes, à long terme cela signifie une part de revenus plus faible.
Ce calcul se fait évidemment sans tenir compte de tout coup de pouce financier potentiel que de nouvelles équipes pourraient créer pour la série (voir notre article consacré à ce sujet hier).
Mohammed Ben Sulayem, le président de la FIA, a en tout cas pris le taureau par les cornes en souhaitant l’arrivée de nouvelles équipes.
Sur le Dakar il a évoqué "13 équipes, c’est ce que la FIA peut accepter dans ses règles".
Mais il a tenté de calmer le jeu vis-à-vis des équipes et de la FOM.
"Le maximum sera de douze équipes si nous lançons l’appel d’offres," confirme-t-il aujourd’hui.
Et il ne comprend toujours pas que General Motors soit autant boudé par les concurrents.
"Nous parlons de GM, l’un des 5 premiers constructeurs automobiles au monde. Nous ne parlons pas de tous ceux qui se sont manifestés dans les médias et veulent juste vivre une aventure en Formule 1," répond-il, en guise de tacle aux projets de Panthera et Calvin Lo qui ont refait surface ces derniers jours.
"Nous devons promouvoir quelque chose comme ça. De plus, ce serait une équipe aux États-Unis, ce qui serait important pour la Formule 1 et ouvrirait une porte."
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