Le travail d’un pilote ne se limite pas à la conduite

Et Bianchi explique que ce n’est pas toujours facile

Par Camille Komaël

20 août 2013 - 18:04
Le travail d'un pilote ne se (…)

"Plus tard, je veux être pilote de Formule 1 !" Beaucoup d’enfants ont dit cette phrase, un jour ou l’autre, n’imaginant pas un seul instant qu’un pilote de Formule 1 ne fait pas que piloter. Et quand on grimpe dans les catégories, on a de plus en plus de choses à faire, qui n’ont plus grand chose à voir avec le pilotage.

Les importantes réunions avec les ingénieurs, mais aussi les médias, et les activités promotionnelles pour son équipe, ses sponsors. Jules Bianchi admet que tout ça n’est pas toujours agréable, car ce qu’aime par-dessus tout un pilote, c’est conduire sa voiture.

"Tous les pilotes aiment la course. Parfois c’est difficile parce qu’on a tellement d’autres choses à faire, des choses qu’on aime pas autant que piloter."

Cependant, le Français sait que tout cela est indispensable et qu’il faut donc faire avec, sans râler car cela ne sert à rien.

"Mais ça fait partie de notre travail. On ne doit pas s’en plaindre et aussi être bon dans ces domaines", estime-t-il.

Le pilote Marussia pense aussi qu’un pilote peut être fatigué, car trop de choses s’accumulent. Et cela peut le déstabiliser en piste.

"Parfois ça peut arriver. Quand on a trop de choses à faire et qu’on ne peut pas penser aux choses importantes, on peut y perdre. On doit faire le travail avec les médias et les événements promotionnels, mais on doit aussi dans le même temps rester totalement concentrer sur ce qu’on a à faire en tant que pilote."

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