Webber : Le DRS, un automatisme dont il est dur de se défaire

Il l’actionne parfois quand il ne faut pas

Par Franck Drui

17 février 2013 - 17:43
Webber : Le DRS, un automatisme (...)

Mark Webber a avoué qu’il avait encore du mal à s’adapter à la nouvelle règle du DRS.

Rappelons que cette année, ce sont des zones prédéfinies qui seront autorisées en essais, en qualifications et en course, alors que jusqu’à présent l’usage restait libre en dehors de la course.

"J’essaye encore d’actionner le DRS là où il ne faut plus le faire. Je dois m’habituer à cela. C’était devenu un automatisme que de l’utiliser dès que possible l’an dernier," a-t-il avoué après les essais de Jerez.

Comme nous l’écrivions il y a quelques jours, ce changement a été soutenu par de nombreux pilotes, pour des raisons de sécurité, certains pilotes cherchant à actionner le DRS de plus en plus près des limites, ce qui aurait pu conduire à de violentes sorties de route.

"Je pense que c’est une bonne chose. Les pilotes ont soutenu cette réforme depuis pas mal de temps. C’est bien d’avoir le DRS utilisable seulement dans les zones prévues à cet effet en course. Cela n’avait vraiment aucun sens pour les équipes, les pilotes et les fans de prendre des risques inutiles le vendredi et le samedi à chercher à ouvrir le DRS le plus tôt possible, partout sur le circuit. Cela ajoutait un peu de risque alors si nous pouvons gérer cela un peu mieux, pourquoi ne pas le faire ? C’était la bonne décision à prendre," expliquait Mark Webber.

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