Mobilité verte : quelles options avec un budget limité ?
Aujourd’hui, les enjeux écologiques constituent une préoccupation majeure pour tout le monde. En effet, aussi bien les entités publiques comme privées réfléchissent désormais à la mise en œuvre des solutions utiles pour préserver l’environnement. Dans ce cadre, le passage à la mobilité verte figure parmi les actions fortement recommandées. De quoi s’agit-il ? Quelles en sont les options pour les particuliers ? On vous en parle.
Qu’entend-on par mobilité verte ?
La mobilité verte est concept à diverses implications selon l’entité qui en fait usage. Elle englobe justement tous les facteurs visant à rendre moins polluants les moyens de déplacement. On parlera ainsi de réseau de transport, de véhicules, de dispositifs d’urbanisme, etc. Pour les particuliers, il s’agit simplement d’une question d’optimisation des moyens de transport utilisés.
Dans cette optique, passer à la mobilité verte peut signifier par exemple d’opter pour une voiture électrique ou hybride. Ceci présentera non seulement l’avantage de l’écologie, mais également du gain financier à l’achat. Rendez-vous sur carbudget pour mieux cerner le budget inhérent à ce type de véhicules.
La mobilité verte peut aussi signifier d’emprunter les transports en commun pour aller au service ou encore d’utiliser une trottinette électrique Dualtron Victor. En réalité, chacun définit son style. Il suffira de garder à l’esprit le véritable enjeu qui est la réduction de la pollution environnementale. Tous modèles compatibles à cet objectif entrent dans la catégorie de la mobilité verte.
L’aide à la mobilité verte
Au-delà des diverses options de véhicules propres, les particuliers disposent d’une possibilité d’accompagnement dans l’acquisition. Il s’agit de l’aide à la mobilité verte. Ce sont des apports financiers octroyés par les entités publiques pour contribuer à la transition. À titre illustratif, de nombreuses régions accordent des aides aux entreprises pour l’installation de bornes de recharge dans leurs parkings.
Dans d’autres contextes, l’aide passe simplement par des avantages fiscaux non négligeables. En réalité, la législation fiscale connait régulièrement des révisions en vue d’encourager le passage aux véhicules à faible émission. Ainsi, on parle de bonus écologique, d’amortissement déductible sur résultat imposable, exonération de TVS (taxe sur véhicule de société), exonération totale ou partielle de la taxe sur le certificat d’immatriculation, etc.
Il existe même une prime à la conversion pour inciter les particuliers à se débarrasser des véhicules polluants. Parallèlement, on tente de décourager l’acquisition d’équipements polluants en revoyant à la hausse la TVS ou encore le malus écologique.
Le cas particulier des véhicules électriques
On pourrait penser à tort que les voitures et les trottinettes électriques ne présentent pas d’intérêts économiques à l’achat. En effet, le coût d’acquisition de ces types de véhicules ne se présente pas comme le moins cher du marché. Cependant, il faut compter la fiscalité favorable dont ils bénéficient pour constater toute la différence. Le surcoût à l’achat se trouve largement compensé. On observera plutôt un avantage financier.
Sur la durée, ces véhicules montrent une grande rentabilité par la faiblesse du coût d’entretien, la réduction de plus de 50 % du coût d’utilisation par rapport au véhicule thermique, le bénéfice de stationnement gratuit par endroits, etc. À tous ces avantages s’ajoute la satisfaction d’une action écologique.