Gulf Racing Middle East : Nous savons vers quelle direction aller

Fabien Giroix optimiste

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6 juin 2012 - 16:01
Gulf Racing Middle East : Nous (...)

Depuis les 12 Heures de Sebring, le Gulf Racing Middle East poursuit sa progression. Lors de la Journée Test, l’objectif était de qualifier les rookies et de commencer le travail en vue de la course des deux Lola B12/80 roulant sous la bannière émiratie. L’écurie voit l’arrivée de Ludovic Badey dans l’équipage de la #28 en compagnie de Fabien Giroix et Stefan Johansson, alors que Marc Rostan épaulera finalement Keiko Ihara et Jean-Denis Deletraz, double vainqueur des 24 Heures du Mans en LMP2. Fabien Giroix, Team Principal, revient sur l’arrivée de ses deux nouvelles recrues.

« Il y a une vraie mayonnaise qui prend avec Ludo et je sais que Marc va bien s’intégrer dans l’équipe. Pour nous, la course est importante, mais nous voulons avoir des pilotes qui collent avec l’état d’esprit du team. Si Ludovic découvrira les 24 Heures du Mans, Marc fait lui office de « briscard » avec une dizaine de participations à son actif. Nos deux équipages sont bien calibrés. Ludo a effectué ses dix tours obligatoires à tout rookie, et Keiko s’est bien habituée au tracé. Même si Jean-Denis connaît bien le circuit, il a fallu qu’il reprenne ses marques, vu que l’an passé il n’avait disputé que la Journée Test. Stefan a pour sa part travaillé dans le bon sens pour faire évoluer l’auto. Nous savons vers quelle direction aller. A l’origine il était prévu de ramener les Lola cette semaine à Magny-Cours, mais nous avons décidé de les laisser ici pour que l’équipe puisse travailler. Nous savons que les Lola sont des autos très fiables et que si nous respectons notre tableau de marche en course, nous pouvons aller très loin et décrocher un bon résultat. »

Fabien Giroix a connu les 24 Heures du Mans au volant de GT bien plus grosses : « J’ai roulé au Mans avec des autos qui avaient peu d’appuis, comme la McLaren GTR. Nous arrivions à 350/360 km/h avec une puissance proche des 700 chevaux. C’était une vingtaine de km/h plus vite qu’une LMP2 actuelle. C’était plus impressionnant que maintenant. Dimanche, j’ai bouclé très peu de tours et je n’ai pas eu le temps de me caler dans un bon rythme. L’approche est différente d’une GT »

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