Vettel n’est pas inquiet quant à son avenir en F1
Ni au sujet de son statut au sein de Ferrari
Sebastian Vettel assure ne pas se sentir sous pression face à un potentiel nouveau contrat avec Ferrari. L’Allemand arrive en effet en bout de contrat cette année et n’a pas encore renouvelé avec la Scuderia, alors que son équipier Charles Leclerc a prolongé jusqu’en 2024.
"La situation est celle-ci" explique le pilote allemand. "Nous parlons de 2021 mais 2020 n’a pas encore commencé. Je pense qu’il y aura assez de temps pour ça. Si je me rappelle de la situation il y a trois ans, je n’avais pas de contrat à la mi-saison. Je ne pense pas que ça change beaucoup, il faut régler cela à un moment, mon avenir, mais je pense que j’aurai assez de temps."
Il admet également qu’il a revu sa saison 2019 pour essayer de combler ses failles : "Il y a toujours quelques réglages à faire, mais nous n’étions surtout pas assez forts en tant qu’équipe. Ce n’était pas une bonne année de mon côté, ça ne s’est pas bien passé."
Chahuté par Leclerc l’an dernier, Vettel a été interrogé sur une potentielle difficulté de son statut au sein de l’équipe, ce à quoi il s’oppose : "Je ne suis pas d’accord avec vous. Nous étions au niveau l’an dernier, ce n’est pas comme si j’avais eu une voiture différente."
"Nous avons tous les deux la même voiture et la même chance de courir. Je n’ai jamais douté l’an dernier, et je ne pense pas que Charles non plus. Nous avons été traité en égaux toute la saison, et nous le serons encore cette année."
"Je ne ressens pas de pression particulière, je me sens bien et en confiance. L’an dernier était une bonne saison pour moi, j’ai appris et compris des choses. Il y a des choses que je peux mieux faire, et je suis sûr que je ferai mieux cette année. Je ne suis pas stressé mais j’ai l’ambition de me le prouver."
Ferrari
Sainz : Ferrari aura ’une chance de victoire’ à Las Vegas
Vasseur prédit une fin de saison totalement imprévisible pour le titre
Ferrari : Une ’journée difficile’ et un rythme ’pas aussi fort’ qu’espéré
Vasseur : Nous n’avons pas demandé à avoir Hamilton plus tôt
+ sur Ferrari