Verstappen : L’arrivée de mon bébé ne changera rien concernant la F1
Il exclut de prendre une année sabbatique pour son bébé
Max Verstappen, quadruple champion du monde en Formule 1 avec Red Bull, a déclaré qu’il n’aurait « jamais envisagé une année sabbatique » après que sa partenaire Kelly Piquet et lui aient appris qu’ils attendaient leur premier enfant ensemble.
Max a confirmé la nouvelle à Abu Dhabi, insistant sur le fait que devenir papa ne devrait pas trop changer sa vie car Kelly a déjà une fille (avec l’ancien pilote de F1 Daniil Kvyat) qu’il aide à élever.
"Je continuerai à faire mes loisirs, mais je sais aussi que j’aurai parfois moins de temps pour eux. Heureusement ça dort beaucoup un bébé !" a souri Max Verstappen lorsqu’on lui a demandé s’il allait devoir abandonner le sim racing à la maison.
"J’ai déjà fait un peu de tout ça (être père). Ce n’est pas comme si c’était complètement nouveau pour moi. Mais bien sûr, c’est maintenant mon ADN. Mais c’est absolument parfait car je sais que le bébé sera entre de bonnes mains quand je serai loin."
"Je peux donc me concentrer sur la course et ensuite je retourne auprès de ma famille, c’est comme ça que ça se passe."
Il a aussi exclu de prendre un congé de paternité sous la forme d’une année sabbatique, une idée qu’avait suggéré son père il y a quelques jours.
"Je n’ai jamais envisagé de prendre une année sabbatique, pour être honnête. Je sais que mon père a suggéré cela mais c’était éventuellement dans le cas où je devrais changer d’équipe."
Quant à son père, il plaisante.
"Si certains imaginent que cela va ralentir Max, c’est des conneries."
"Je pense que devenir père, cela ne fait que motiver. Je n’ai pas eu de problème avec ça non plus."
"Et Max sait depuis un moment qu’il va être père. Cela ne l’a pas perturbé du tout. Regardez comment il a gagné la course au Brésil. Il le savait déjà à l’époque, et moi aussi."
Max Verstappen ne forcera pas son enfant à faire de la course
Dès son plus jeune âge, Verstappen a suivi les traces de son père Jos dans la course et les méthodes strictes utilisées ont été bien documentées.
Quand on lui a demandé s’il souhaitait que son enfant poursuive sa carrière, Verstappen s’est montré réticent, peu disposé à pousser son fils ou sa fille vers la F1.
"Eh bien, je veux dire, s’il ou elle veut le faire, et que je vois qu’il y a du talent, je le soutiendrais, en fait, mais j’espère vraiment que non. Encore une fois, pas de pression. Vis juste ta vie."
"Mais si le mini Verstappen-Piquet (rires) veut poursuivre une carrière de pilote, il ne manquera pas de mentors avec toute notre famille !"
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