Verstappen : Certaines choses écrites sur moi n’étaient pas justes
Max évoque à nouveau le parti pris des médias britanniques
Le quadruple champion du monde de F1 Max Verstappen a dénoncé à nouveau ce qu’il perçoit comme un parti pris dans la couverture médiatique britannique à son égard.
Verstappen a pris pour cible les médias britanniques après sa victoire éclatante depuis la 17e place sur la grille du Grand Prix de Sao Paulo.
Les commentaires du Néerlandais interviennent après avoir reçu des critiques de la part du champion du monde 1996 Damon Hill, ainsi que des anciens pilotes de F1 britanniques Martin Brundle et Johnny Herbert, à la suite d’affrontements controversés avec son rival pour le titre Lando Norris.
"Parfois, dans les situations de course, ou dans les batailles, ou dans certaines pénalités, et dans la façon dont les gens voient le succès et le crédit qu’ils vous accordent ou non, j’ai vraiment l’impression qu’il y a un parti pris," explique aujourd’hui Verstappen, lorsqu’on lui demande d’expliquer son sentiment à ce sujet.
"Le problème en F1, c’est que 80 à 85 % des médias sont britanniques. Et j’ai eu l’impression que certaines choses qui ont été écrites sur moi n’étaient pas justes. Je ne vais pas m’asseoir ici et désigner un seul présentateur, mais j’ai juste dû rire de ce qui a été dit. Je me suis dit : ’peu importe’."
"En fin de compte, oui, j’ai quatre titres et ce sont eux qui sont devant un micro. Je m’exprime. Je m’en fiche. Si je ne suis pas d’accord avec quelque chose, je vous le dirai."
"Sur la piste, je vais tout risquer. Je ne vais pas reculer. Je veux gagner. Cela doit être le résultat final. Certaines personnes me critiquent pour cela."
"Mais la plupart d’entre eux n’ont pas la mentalité de gagner un championnat, donc ils ne comprennent pas, et ne comprendront jamais ce genre d’approche."
Quant à savoir s’il s’attend à ce que la couverture médiatique change, le pilote Red Bull a déclaré : "Cela dépend beaucoup du fait que vous vous battiez contre un pilote britannique. Si je me battais contre Charles [Leclerc] par exemple, ce serait beaucoup moins un problème."
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