Schumacher ravi que la F1 ‘devienne de plus en plus américaine’
Il est lui-même un fan du pays
Mick Schumacher, à l’image du paddock, va découvrir un nouveau Grand Prix et un nouveau circuit ce week-end à Miami. Il devra impérativement montrer du mieux, après un dernier week-end à Imola raté (trois erreurs en qualifications ou en course). La pression monte…
Pour le pilote allemand de Haas, ce week-end sera également la découverte d’une nouvelle ville, la ‘Magic City’ de la Floride, dont il espère bien profiter des atouts entre deux tours de roue…
« Je n’ai pas encore visité Miami, je suis juste passé devant quand j’étais plus jeune. J’ai très envie d’y aller, c’est un endroit que j’ai toujours voulu voir et découvrir. La plage est assez connue là-bas, et mon hôtel est assez proche, donc je vais probablement pouvoir y aller et évidemment je suis plus excité par la course. »
Sur ce circuit urbain avec un dénivelé notable entre les virages 13 et 16, quelles seront les principales difficultés selon Mick Schumacher ? Ou les portions les plus intéressantes du tracé ? Pour le moment, le pilote Haas se concentre sur le hors-piste...
« Je n’ai pas roulé sur le circuit, il est donc difficile de dire quels seront les portions les plus marquantes et comment ça va se passer, mais une course américaine est toujours amusante. Il y a toujours beaucoup de spectacle, il y a toujours des célébrités qui viennent et que vous n’auriez pas l’occasion de rencontrer autrement. C’est bien que nous devenions de plus en plus Américains d’une certaine manière parce que les fans sont formidables et je m’amuse à chaque fois que j’y vais. J’ai hâte de courir là-bas de plus en plus à l’avenir. »
Trois courses aux USA : cela enchante donc Schumacher Junior !
« C’est surtout parce que c’est différent. J’aime des choses très variées. Par exemple, l’Australie est un endroit que j’adore, ça pourrait être les montagnes du nord de la Norvège ou même la Suisse, mais en Amérique... Ma sœur dit que le ciel semble plus grand aux États-Unis, et c’est vrai dans un sens ! Les gens sont toujours très gentils - j’ai été arrêté par un officier de police l’année dernière et il a été super gentil et m’a laissé jeter un coup d’œil à sa voiture et il y a juste un sentiment agréable à cela. »
Toutefois Mick Schumacher n’est bien sûr pas un touriste mais un pilote de F1, qui voyage de course en course et de continent en continent : 4 continents différents sur les 5 premières courses du calendrier ! Comment faire pour tenir le rythme ?
« Je passe beaucoup de temps dans les endroits où nous allons, en amont. En Australie, j’y suis allé une semaine à l’avance et c’est pareil aux Etats-Unis, donc j’essaie d’y aller aussi tôt que possible et de me mettre dans le rythme. J’ai tendance à ne pas rester trop longtemps après pour me remettre dans le fuseau horaire de l’Europe, parce que nous avons les courses européennes qui arrivent. Dans la plupart des endroits où je vais, je cherche une salle de sport. Si c’est un hôtel, je chercherai celui qui a une salle de sport et si je suis dans mon ranch, j’ai construit ma propre salle de sport pour pouvoir m’entraîner quand je suis là. Quand je vais dans des endroits comme le Texas, je suis toujours debout toute la journée de toute façon, alors c’est juste un bonus si j’ai une salle de sport. »
Haas F1
Haas F1 : ’Des qualifications correctes’ mais un résultat décevant
Haas F1 peut être ’la cinquième’ force du plateau à Las Vegas
Haas F1 ’ne peut pas être confiante’ pour sa sixième place
Steiner cite un de ses plus grands regrets chez Haas F1
+ sur Haas F1