Schumacher nie que la pression l’ait poussé à la faute à Djeddah
Son premier gros accident en F1 est dû à d’autres facteurs
Victime d’un spectaculaire accident à Djeddah lors de la séance qualificative du Grand Prix d’Arabie saoudite, Mick Schumacher a réfuté que cette sortie de piste soit consécutive à la pression que lui mettrait Kevin Magnussen.
Après un an face à Nikita Mazepin chez Haas F1, le fils du septuple champion du monde marque le pas en ce début d’année face à un Magnussen redoutable. Néanmoins, l’Allemand promet que ce n’est aucunement la raison de son accident.
"Non. Je pense que si nous voulions passer en Q3, nous étions juste à la limite, donc nous devions attaquer" a déclaré Schumacher. "C’est ce que je faisais. Les vents ont changé au cours de la journée et peut-être que ça a joué un rôle."
Bien qu’il ait connu d’autres accidents en sport automobile, Schumacher admet que celui-ci était le plus violent, à cause d’un facteur spécifique : "Je pense que les vitesses sont un peu différentes."
"Heureusement que les voitures sont sûres, parce que les vitesses sont très élevées. Je crois que le pourcentage d’amélioration de la sécurité est d’environ 300%, par rapport à l’année dernière, donc ce taux d’amélioration est fou."
La vidéo embarquée montre un gros choc de sa tête contre les protections de cockpit, mais aussi ses mains et bras repliés contre le corps, attendant l’accident. Il confirme qu’il se préparait à un tel impact : "Disons le, une fois que j’ai perdu l’arrière, je savais que ça arrivait, donc j’ai pu me préparer."
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