Schumacher a demandé conseil à Vettel avant de s’engager en WEC
L’Allemand est "impatient" de reprendre la compétition
Mick Schumacher a révélé qu’il a demandé son avis à Sebastian Vettel avant de s’engager en WEC en 2024 avec Alpine. Le pilote allemand a pris des avis auprès de ses aînés, dont son mentor, alors qu’il s’inquiétait de s’éloigner de la F1 pour une année.
"Quelques pilotes. J’ai parlé à Timo Glock et j’en ai aussi brièvement parlé à Sebastian. Il est évident que cela a joué un rôle. Il en sait tellement sur le sport automobile que c’était aussi une évidence pour moi d’aller lui demander son avis" a déclaré Schumacher.
Mais le retour à la compétition est également très important pour lui : "Il est évident que le fait d’avoir dû s’absenter une année entière a été difficile et je suis impatient d’être de retour dans la voiture et d’aller courir, et bien sûr de relever un nouveau défi."
"C’était bien sûr l’objectif. C’est très important. Évidemment, je suis un pilote de course. Je n’ai pas quitté la compétition depuis 14 ans, donc c’était vraiment un choix clair et une direction claire que je voulais reprendre la course l’année prochaine."
"Ce n’est pas un pas de côté" face à la F1
Selon lui, il ne s’agit pas de s’éloigner de la F1 de manière définitive, d’autant qu’il restera pilote de réserve pour Mercedes. Le pilote de 24 ans est convaincu que s’il fait ses preuves et qu’une équipe de Formule 1 souhaite son retour en catégorie reine, il sera encore temps pour lui de revenir.
"Je ne dirais pas que c’est un pas de côté. Je pense qu’il a son charme et ses défis, tout comme la Formule 1. Je fais un double programme avec le rôle de pilote de réserve pour garder le contact avec la Formule 1. Lorsque vous avez ces discussions en dehors de la F1, je pense que si quelque chose se présente en F1, ils vous laisseront le faire."
"En ce sens, vous pouvez aborder les discussions sur ce qui se passera l’année prochaine dans un état d’esprit confortable. Si, disons, quelque chose change soudainement, je doute qu’ils vous empêchent d’aller en Formule 1".
"Mais je le vois comme un défi et je le vois comme quelque chose où moi aussi, en tant que pilote, je peux me développer davantage, je l’espère. Si mon chemin me ramène un jour en Formule 1, alors je serai en mesure d’appliquer le développement que j’ai fait dans cette catégorie à la Formule 1."
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