Russell veut se battre pour le podium à Miami avec sa Mercedes F1
"J’espère me battre avec les Aston Martin et les Ferrari"
George Russell n’est pas encore monté sur le podium cette saison, contrairement à Lewis Hamilton.
Bakou a été une douche froide pour Mercedes F1 et le pilote britannique, il veut donc renverser la vapeur à Miami.
Qu’espérer pour la W14 ? Un week-end comme en Australie, où Mercedes était la 2e force du plateau ? Ou faut-il s’attendre à un remake de Bakou ?
"J’espère me battre pour un podium avec les Aston Martin et les Ferrari," confie-t-il ce jeudi.
"Bakou n’était pas terrible mais c’était très serré en réalité. Nous avons raté la Q3 de quatre millisecondes, et cela aurait été une histoire totalement différente si nous étions entrés en Q3. Nous aurions probablement pu nous qualifier dans le top six, mais il est clair que notre voiture n’est pas assez rapide."
"Nous devons continuer de faire un meilleur travail, y compris ce week-end même si nous n’avons pas encore nos grosses nouveautés. J’espère que ce sera un week-end un peu plus calme et que nous pourrons nous battre avec Aston et Ferrari donc."
Comme tous les autres pilotes, il devra s’habituer aux conditions chaudes. De plus, il fait relativement humide à Miami.
"C’est certainement délicat, c’est sûr. Je pense que l’année dernière, pour nous tous, ce fut l’une des courses les plus difficiles de la saison, mais je pense que c’est excitant quand c’est difficile. Personne ne veut une course facile et cela vous donne l’occasion de faire quelque chose de mieux que les autres, mais c’est sûr que quand vous êtes assis dans une F1 pendant près de deux heures, vous transpirez."
Des échanges avec Max Verstappen ?
George Russell et Max Verstappen se sont affrontés lors de la course sprint et verbalement à Bakou. A-t-il eu un contact avec le Néerlandais après les insultes ?
"Non et je n’en ai pas besoin. Et je continuerai à courir de la même manière que je l’ai toujours fait. Je veux dire, on a beaucoup parlé de cela, mais de mon côté, c’était assez simple. De toute évidence, il est lui assez bouleversé à ce sujet, mais c’est la course et ces choses arrivent et nous sommes tous ici pour nous battre."
"Se défendre, c’est ça la Formule 1. De mon côté, il n’y avait pas à m’expliquer plus, même pendant la semaine. Je lui dirai bonjour s’il passe et je suis sûr que nous nous serrerons la main quand nous nous croiserons. Pour moi, c’est de l’histoire ancienne maintenant, c’est derrière nous."
"Je le respecte toujours. Je pense toujours que c’est un grand pilote et, évidemment, des choses se disent toujours dans le feu de l’action. Mais oui, passons à autre chose."
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