Russell : Personne n’a un mauvais mot à dire sur Vettel

George Russell, le pilote Mercedes F1, n’a pas côtoyé le Sebastian Vettel de la grande époque dans sa jeune carrière en Formule 1 mais il a naturellement suivi le quadruple champion du monde lors de sa propre ascension vers le sport.

"Ce n’était pas mon idole, j’avais plutôt tendance à suivre Lewis Hamilton mais Seb a été une telle inspiration, comme je l’ai dit. Personne ne peut l’ignorer. Personne n’a un mauvais mot à dire sur Seb. J’ai appris à le connaitre avec le GPDA notamment, il est sérieux mais aussi très amusant à côtoyer."

Vettel laisse un énorme héritage sur la piste et hors piste s’il y avait une chose qu’il devait en retirer, quelle serait-elle ?

"Je suis assez impressionné par les cheveux et la barbe qu’il a en ce moment. J’ai un peu de mal à me faire pousser la barbe," lance-t-il en riant !

"Comme je l’ai dit, je pense, vous savez, nous sommes tous des bêtes de compétition, nous voulons tous gagner, nous voulons tous gagner autant de championnats que possible et personne n’a de mal à dire à propos de Seb dans le paddock. C’est probablement un héritage dont il peut probablement être le plus fier, en plus de ses succès en piste."

Russell l’a évoqué : il collabore avec Vettel dans le cadre du GPDA, l’Association des Pilotes de F1. Les deux directeurs se sont bien fait entendre ces derniers mois. Qu’est-ce qui manquera à Russell dans le travail de l’Allemand ?

"Nous connaissons tous l’intellect de Sebastian, et en partageant pas mal de réunions avec lui, dans les coulisses, en discutant avec la FIA ou la F1, ou qui que ce soit, vous voyez à quel point il a des connaissances approfondies et générales ; quelle connaissance il a de la Formule 1. Et je suis sûr que c’est aussi vrai sur le côté technique. Donc, c’est assez inspirant de voir comment il se comporte. Et vous savez, par-dessus tout, c’est juste un type formidable, un être humain formidable. Et je pense que dans le monde aujourd’hui, il nous manque beaucoup de gens comme Seb, alors oui, c’est sûr qu’il nous manquera."