’Presque à 100%’, Alonso en a fini avec les douleurs suite à son accident

Fernando Alonso est de retour à "presque 100%" à la suite de sa chute à vélo lors de l’hiver.

Alors qu’il se préparait pour son retour en Formule 1, l’Espagnol de 39 ans a été heurté par une voiture alors qu’il faisait du vélo et a toujours des plaques de métal dans la mâchoire suite à une opération.

"Ce n’est pas quelque chose que j’aime commenter car cela n’a aucun impact sur la course," explique Alonso en Espagne, depuis Barcelone.

"Bien sûr, j’ai mal - lorsque la température change, la pression change. J’ai également eu une bosse à l’épaule et une au genou, qui n’étaient pas nécessaire à opérer mais j’ai dû faire un peu de rééducation."

"Je disais simplement que c’était la première semaine où je n’avais aucune douleur en faisant quoi que ce soit. Jusqu’à présent, j’en avais encore, mais cela ne voulait pas dire que je ne pouvais pas freiner à fond ou bien prendre les virages, donc je n’ai pas mentionné quelque chose inutilement. Donc oui, sur la voie du retour à une vie normale, je suis à nouveau à presque 100%."

Quant à Lewis Hamilton, Alonso dit que le septuple champion du monde est définitivement à 100% jusqu’à présent en 2021.

"Oui, s’il y en a bien un à 100% sur la grille, c’est lui !"

"Je ne sais pas si tout ce qu’il fait est suffisamment valorisé. Je sais qu’il est apprécié, mais je donne beaucoup plus de crédit à Lewis en ce moment parce que Mercedes n’a plus la domination qu’elle avait avant. Maintenant, Red Bull est parfois très proche et cela ne l’influence pas - il donne toujours 100%, donc nous devons le féliciter."

Enfin, Alonso a aussi eu un mot devant sa presse nationale, comme Sainz, sur Barcelone. Il est convaincu que malgré l’absence de contrat au-delà de 2021, il est sûr que la Formule 1 reviendra à Barcelone l’année prochaine.

"C’est une piste qui n’est pas seulement utilisée pour le week-end de course mais aussi pour les tests. Elle est traitée un peu comme le centre d’essais de la Formule 1 grâce à notre climat et nos installations. J’espère donc que cela sera pris en compte et nous serons ici pendant de nombreuses années. C’est ce que nous aimerions au niveau sportif, mais ensuite au niveau économique ou politique, il y a d’autres facteurs et alors nous n’avons ni vote ni voix."