Piastri ne voit pas de nervosité chez McLaren F1 suite à la remontée de Ferrari

"Mais oui, je me sentais beaucoup plus à l’aise et c’est un peu dommage de mal se qualifier encore plus, vraiment. Mais je préfère, vous savez, d’une certaine manière, avoir un week-end comme au Mexique où je suis au moins à l’aise et en sachant que j’ai fait une erreur plutôt qu’un peu plus à Austin où je me bats pour tirer le meilleur parti de la voiture."

Et que disait Lando Norris à propos du nouveau fond plat ?

"Bonne question ! Je ne sais pas. Pas grand-chose, évidemment. Il fait ce qu’il est censé faire d’après ce que j’ai entendu et vu, ce qui est toujours une bonne chose. Mais cela n’a pas transformé la voiture, je dirais. J’espère donc que ce n’est qu’une petite amélioration."

Et quel est le sentiment chez McLaren en ce moment concernant le championnat des constructeurs ? Ferrari sonne la pleine charge. De la nervosité ?

"Je dirais que non. Je pense que nous avons toujours su que Ferrari allait être une menace. Et que, vous savez, depuis Monza, ils ont eu une voiture très, très rapide. Certains week-ends, les résultats ne l’ont pas montré. Donc pour nous, ce n’est pas une grande surprise qu’ils aient été aussi rapides que ces derniers week-ends, en particulier. Donc on verra si cette série continue. Mais on savait qu’il fallait s’attendre à une bagarre, c’est sûr. Donc oui, ça va être une fin d’année excitante dans les deux championnats."

Croit-il vraiment que Norris peut rattraper Verstappen ?

"Je veux dire que c’est possible. Ce n’est certainement pas une tâche facile. Et, vous savez, d’une certaine manière, ça dépend des deux pilotes. Ce qui se passe, évidemment, c’est que Lando ne peut pas simplement gagner toutes les courses et que Max termine deuxième parce que Max gagnera quand même. Donc ça dépend un peu des résultats."

C’est évidemment une lutte très serrée avec les trois meilleures équipes et Mercedes de temps en temps, donc le basculement d’un côté ou de l’autre peut encore être assez important pour le moment. C’est possible, c’est difficile mais c’est faisable."