Leclerc s’inquiète du ’train DRS’ pour remonter à Djeddah

Charles Leclerc s’élancera 12e du Grand Prix d’Arabie saoudite ce dimanche à 18 heures. Le pilote Ferrari espère pouvoir remonter et compte profiter d’un rythme de course meilleur de sa voiture, même si le tracé ne lui facilitera pas la tâche.

"Je pense que notre rythme de course est plus rapide ce week-end" a déclaré Leclerc. "C’est donc une bonne chose. Ensuite, je ne sais pas s’il sera facile de doubler sur ce circuit parce que les pilotes du milieu semblent tous extrêmement proches en termes de rythme de course."

"Et si vous avez un train DRS, cela rend les choses très difficiles. Mais je ferai de mon mieux, j’essaierai de revenir aux avant-postes aussi vite que possible. Et nous verrons ce qui se passera."

Leclerc n’a pas d’inquiétude face au rythme des voitures devant lui, à l’exception des Red Bull, y compris de Verstappen qui s’élance derrière : "Je commence à l’arrière, donc je dois d’abord atteindre ce niveau avant de m’inquiéter de quoi que ce soit."

"Mais disons que je n’ai rien vu qui m’inquiète de la part de George. Je pense que c’est plutôt le rythme de Red Bull qui est très, très impressionnant. Et le rythme de Mercedes est plus ou moins en ligne avec le nôtre, je pense."

Un podium pour Sainz est possible

Le Monégasque pense qu’un podium est envisageable pour l’autre Ferrari de Carlos Sainz, mais pas pour lui : "Je pense que pour Carlos, c’est tout à fait possible. Il part d’un peu moins loin. De mon côté, je pense que ce sera un peu plus difficile, surtout une fois que j’aurai rejoint les voitures de tête."

"Cependant, notre rythme de course semble meilleur qu’à Bahreïn. Je pense donc que nous serons un peu meilleurs sur ce point. Mais oui, pour moi, nous sommes encore trop loin en qualifications par rapport à ce que j’aimerais être, surtout par rapport à la Red Bull."

Il se méfiera aussi des Alpine, mais pas plus que d’une autre équipe : "Il n’y a rien de particulier à leur sujet. Alpine semble être très rapide, surtout le jour de la course. Mais oui, voyons voir. Je n’ai pas de plan particulier pour battre l’Alpine."

"Je pense que nous devons nous concentrer sur notre course et voir ce qui est possible. Ce que nous devons faire, c’est ne pas commettre d’erreur et exécuter la course à la perfection."