Leclerc : Le simulateur ’encore très différent’ du pilotage d’une F1
Mais ça l’aide sur le plan mental
Charles Leclerc a passé beaucoup de temps sur son simulateur pendant le confinement, et le pilote Ferrari reconnaît que ça l’a aidé à rester affûté sur le plan mental. Du côté physique et sur le plan du pilotage, il admet que ça n’a rien à voir.
"Pour être complètement honnête, pas sur les talents de pilotage, mais ça peut aider sur d’autres points, comme la force mentale" a déclaré Leclerc pour le magazine RaceAtHome de la FIA.
"Mentalement, il est difficile de terminer un tour sans faire d’erreur dans le simulateur, et sur le plan mental, c’est très proche de la réalité. je suis sûr que ça nous aide à rester entraînés."
"Bien sûr, le feeling n’est pas le même. Certaines choses aident à aller plus vite sur simulateur mais ne fonctionnent pas en vrai, mais c’est ce qui s’en rapproche le plus. J’ai un volant en main, des pédales devant mes pieds, c’est le plus proche de la réalité et ça m’aide à rester entraîné."
Selon le Monégasque, les simulateurs restent toutefois très éloignés de ce qui constitue le pilotage d’une voiture de course, et encore plus d’une monoplace de Formule 1, parmi les plus rapides au monde.
"Je pense que ça se développera à l’avenir. Plus les simulateurs seront bons, plus proches ils seront de la réalité, et plus ça sera représentatif de la vraie vie. Ce sera alors un véritable entraînement."
"Bien sûr, c’est encore très différent entre la réalité et le simulateur, avec les forces et ce genre de choses qui font une grande différence et que l’on ne vit pas dans le simulateur. Il faudra un temps d’adaptation, mais on s’en rapprochera."
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