Le simulateur Ferrari, l’atout de Schumacher que n’a pas Mazepin pour Mexico
Utile pour apprendre une nouvelle piste
Comme son coéquipier, et comme aussi Yuki Tsunoda et Nicholas Latifi, Mick Schumacher va connaître son premier dimanche de course au Mexique ce week-end.
Avec l’altitude supérieure de ce Grand Prix (supérieure à 2000 m), le pilote Haas aura même deux défis nouveaux en un à relever dans la capitale mexicaine.
A-t-il alors changé sa préparation pour s’adapter à ce nouvel environnement ?
« Je ne dirais pas qu’il y a eu un entraînement ou une préparation spécifique, mais j’ai certainement conscience que la voiture sera différente, qu’elle sera différente sur la piste et que le moteur sera moins performant. Il y aura des difficultés différentes et peut-être une perspective différente que nous devrons considérer sur la façon dont la voiture se comportera ici. Pour moi, personnellement, je ne le remarque pas vraiment. »
Contrairement à Nikita Mazepin, Mick Schumacher peut utiliser le simulateur Ferrari à Maranello et compte bien profiter de cet avantage ce week-end...
« Heureusement, j’ai eu la chance de piloter dans le simulateur, donc j’ai une bonne idée de ce qui m’attend. J’ai vraiment hâte d’y être, je me sens vraiment bien, et je pense que ça va être très amusant. »
Enfin Mexico, cela veut dire un troisième secteur très impressionnant avec la section passant dans le stade...
« J’ai vraiment hâte de voir les supporters mexicains. On m’a dit que c’est très agréable avec la passion que vous ressentez en conduisant là-bas, surtout en passant par le 3e secteur, donc c’est excitant d’y aller. Je pense que si vous avez l’occasion d’entendre le public pendant la course, cela ajoute définitivement de la motivation pour vous donner envie de bien faire, donc je suis impatient d’entendre la foule m’encourager et de faire de mon mieux là-bas. »
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