La F1 veut surveiller l’affaire de dopage en Russie
Au cas où le GP à Sotchi soit menacé
Les organisateurs du Grand Prix de Russie se veulent sereins, après que le pays a été interdit de participer à des événements sportifs tels que la Coupe du monde de football ou les Jeux Olympiques, et interdit d’organiser de telles compétitions.
"Le contrat a été signé en 2010, bien avant les événements sur lesquelles enquête l’agence mondiale antidopage" assure le promoteur. La fédération russe de l’automobile assure, quant à elle, qu’elle a toujours suivi les règles pour assurer un sport "pur et sans dopage".
"La FIA n’est pas un organisateur majeur d’événements sportifs comme défini par le code mondial antidopage" poursuit la fédération, qui assure qu’il n’est pas possible de relocaliser le Grand Prix. Les pilotes qui ne sont pas impliqués dans le scandale, c’est-à-dire tous pour le moment, pourront par ailleurs continuer à rouler.
Cependant, la Formule 1 a toutefois assuré qu’elle regardait de près la situation : "Compte tenu du droit de l’agence antidopage russe de contester la décision, la Formule 1 et la FIA suivront de près les évolutions."
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