Kubica s’attend à un circuit difficile à Bakou
Il ne se fixe aucun objectif
Williams se dirige vers Bakou en sachant que le circuit n’aura rien d’une promenade de santé pour ses monoplaces. Si George Russell expliquait aimer le circuit après son expérience en F2 l’an dernier, Robert Kubica espère également s’y plaire, lui qui adorait les circuits urbains à ses débuts en F1.
"C’est le moment de la quatrième course de la saison à Bakou" déclare Kubica. "Le circuit à l’air compliqué de ce que j’ai pu y voir l’année dernière, et c’est certainement l’un des plus exigeants de l’année. Ce sera la première fois que je piloterai là-bas. Dans le passé, j’adorais conduire sur ces circuits [urbains], donc j’ai hâte d’avoir ce ressenti que j’avais dans le passé."
Dave Robson, ingénieur de course en chef de l’équipe, décrit le défi qui attend les pilotes et les monoplaces en Azerbaïdjan : "Les rues de Bakou servent de circuit pour le quatrième Grand Prix de F1 de 2019. Le circuit montre une variété de défis, incluant quelques pentes impressionnantes, des zones de freinage difficiles, et de très longues lignes droites. Les principales séances se disputent au crépuscule, la piste peut refroidir rapidement, ce qui surprend souvent les pilotes."
"Avec plus de 6 km, le circuit est le deuxième plus long de la saison, Spa-Francorchamps étant plus long. Du fait du tracer varié du circuit, nous nous attendant à ce que les équipes expérimentent des niveaux de traînée durant le week-end et que les pilotes fassent face aux problèmes que posent de longues lignes droites et de petites sections sinueuses au milieu du circuit. George est familier du circuit qu’il a gagné en F2 en 2018, mais pour Robert ce sera une nouvelle expérience dans cette saison de retour."
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