Hamilton préfère les F1 old-school à celles d’aujourd’hui
Notamment celle de Senna en 1988
De 2013 à aujourd’hui, Lewis Hamilton aura rencontré un succès peut-être inégalié et inespéré avec Mercedes F1. L’ancien pilote de McLaren a écrit les pages les plus brillantes de l’histoire du constructeur allemand dans l’élite du sport automobile.
S’il rejoindra Ferrari l’an prochain, Lewis Hamilton restera bien sûr très attaché à l’équipe Mercedes, où il aura été davantage qu’un pilote, mais encore un meneur ou un ambassadeur.
Mais s’il avait eu l’opportunité d’échanger de poste avec quelqu’un dans l’équipe, de participer à un épisode de ‘Vis ma vie’ chez Mercedes F1 ? Quel job Lewis Hamilton aurait-il aimé exercer chez Mercedes F1 ?
« Je dirais probablement celui de Toto, car il est le boss ! »
« Être le patron pour la journée, ce serait super. Être le patron de tout le monde ! »
De toutes les F1 que Lewis Hamilton aura conduites durant sa carrière... quelle est sa préférée ? Sa voiture victorieuse de 2008 ? Une Mercedes F1 triomphante de l’ère hybride ?
Eh bien non, il s’agit de... la MP4/4 d’Ayrton Senna (celle de 1988), qu’il avait eu l’opportunité de piloter en 2009, dans l’émission ’Top Gear’.
« Ma préférée, ce fut quand j’ai piloté la MP4/4 d’Ayrton Senna. Mais la McLaren de Senna en 1993 pilotée par Seb (Vettel) à Imola (photo), c’était quelque chose. »
« Je pense que les voitures de l’époque étaient beaucoup moins efficaces sur le plan aérodynamique. C’était plus comme un kart à l’époque, parce qu’elles avaient littéralement de gros pneus énormes avec une adhérence mécanique. »
Le moment préféré de Lewis Hamilton en F1
Enfin parmi tous ses moments préférés, ses Grands Prix les plus émouvants en F1, lequel Hamilton choisirait-il ? Son premier, son dernier titre ? Sa première victoire au Canada en 2007 ? Non : Lewis choisit le moment de sa signature chez Mclaren, pour entrer en F1.
« Nous n’arrivions pas à y croire, il y a eu tellement de moments sombres et difficiles où nous pensions vraiment que c’était fini et que cela n’arriverait pas, mais nous n’avons jamais abandonné. »
« Lorsque j’ai gagné ma première course à Montréal, le fait de voir mon père sur le podium m’a conforté dans l’idée que toutes les nuits blanches, les voyages que nous avons faits, l’adversité à laquelle nous avons dû faire face, tout cela en valait la peine. »
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