Grosjean estime qu’il était bien parti en Hongrie
Avec les tendres ça allait, ensuite... ce n’était plus pareil
Romain Grosjean, comme d’autres pilotes, a tenté de faire une partie du Grand Prix de Hongrie avec les pneus les plus durs, pour tenter d’aller au bout de la course.
Mais sans avoir testé cette gomme au préalable lors des libres, c’était comme si Haas envoyait le Français à l’aveugle pour finir la course. Une mauvaise décision selon lui.
"Sur les tendres, en début de course, nous étions bien en termes de rythme. Lors de ce premiers relais, je tenais tout le monde derrière moi sans problème et je tenais aussi mes pneus dans un état correct," analyse Grosjean.
"Mais Sergio Perez a décidé de s’arrêter et l’équipe a voulu réagir. On s’est arrêté trop tôt selon moi pour mettre des durs. Ce n’était pas du tout un bon pneu, déjà pour nous, mais quand on voit aussi ce que ça a été pour Max Verstappen à la fin... Par rapport aux médiums, il n’y avait pas de grip."
"La bonne stratégie aurait été tendres puis médiums. Sans données issues du vendredi, nous ne le savions pas. Mais avec les durs, j’allais tellement lentement que je me suis vite pris des drapeaux bleus. Pas de grip et beaucoup de tours à faire, voilà ce qui m’attendais."
"Les gars m’ont alors donné une cible à tenir en 1’22s. C’était impossible (au mieux il a réussi 1’23’’1, ndlr). J’ai vite dit que c’était plus rapide que ce que je pouvais faire. Avec les tendres aucun souci, avec les durs j’étais nulle part."
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