Gerhard Berger sur la liste de Ferrari pour diriger la Scuderia
Il aurait été contacté par John Elkann
Ferrari chercherait toujours un remplaçant à Mattia Binotto selon les dernières rumeurs en Italie et en Allemagne.
Frédéric Vasseur, favori pour prendre le poste de directeur de la Scuderia, n’aurait pas encore accepté et John Elkann multiplie les contacts. Ce dernier a déjà eu des réponses négatives de la part de Ross Brawn et Christian Horner.
Un nom circuit beaucoup ces dernières heures à Maranello, celui de l’ancien pilote de F1 Ferrari Gerhard Berger.
L’homme de 63 ans, qui a eu deux passages distincts au volant des Formule 1 de l’équipe italienne dans les années 80 et 90, a récemment été le patron de la série allemande de voitures de tourisme, le DTM.
Cependant, Berger doit quitter le DTM, une série en difficulté financière, la remettant entre les mains du club automobile allemand, l’ADAC.
"C’est une bonne nouvelle pour l’énorme communauté de fans du DTM," a déclaré Berger.
"Je suis fermement convaincu que la marque est entre de bonnes mains avec l’ADAC. Ils ont le savoir-faire nécessaire pour offrir à tous les fans de sport automobile une expérience unique à l’avenir."
Berger a aussi des expériences en tant que patrons d’équipes. À l’issue de sa carrière de pilote, il est nommé, en 1998, directeur de la compétition chez BMW Motorsport. Le premier objectif est la victoire aux 24 Heures du Mans, atteint en 1999.
Puis à partir de 2000, Berger dirige avec réussite le retour de BMW en Formule 1, en tant que motoriste de l’écurie Williams F1.
Début 2003, Berger annonce son départ effectif quelques mois plus tard. Si l’ancien pilote autrichien fait état de raisons privées et notamment de sa volonté de profiter de sa famille, certains voient également dans cette décision le résultat de ses désaccords avec Mario Theissen, le directeur technique de BMW.
Toujours régulièrement présent sur les circuits, Gerhard Berger retrouve un rôle décisionnel début 2006 avec son rachat à hauteur de 50 % de l’écurie Scuderia Toro Rosso jusqu’alors propriété unique de Dietrich Mateschitz, le fondateur de la marque Red Bull. Il revend ses parts à Mateschitz fin 2008.
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