Pour Hamilton et Leclerc, la sécurité des pilotes n’est pas remise en cause
Le décès d’Anthoine Hubert ne change rien à cela
La Formule 1 arrive à Monza, la piste la plus rapide du calendrier, juste après Spa.
De graves accidents ont eu lieu sur le circuit italien mais il n’y a pas de quoi préoccuper le leader du championnat, Lewis Hamilton, interrogé après le décès d’Anthoine Hubert en Formule 2 en Belgique.
Le quintuple champion du monde préfère voir la situation dans son ensemble, depuis les drames de 1994.
"Je pense que la FIA a déjà accompli un travail considérable pour la sécurité depuis 25 ans. Ils ont travaillé très dur et nous avons déjà fait de grands pas. Évidemment, particulièrement quand Charlie (Whiting) était là, il a fait faire à notre sport des avancées considérables. Nous allons donc continuer dans cette direction mais je ne suis pas particulièrement inquiet pour Monza," commente le pilote Mercedes.
"Je suis complètement d’accord avec Lewis," ajoute Charles Leclerc, le vainqueur du Grand Prix de Belgique.
"Je pense que tout le monde travaille d’arrache-pied pour essayer d’améliorer la sécurité de notre sport, ce qui, selon moi, devrait toujours être la priorité. Mais le sport auto restera toujours un sport dangereux."
"Évidemment, quand vous roulez à de telles vitesses, c’est dangereux. A Spa, l’Eau Rouge est assez dangereux car le mur est évidemment assez proche, il y aura donc toujours des virages difficiles et plus dangereux que d’autres, mais dans l’ensemble, je pense que la FIA a fait un travail incroyable au cours des vingt dernières années pour améliorer la sécurité sur les circuits comme dans nos Formule 1."
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