Ferrari aura un droit de veto à la nomination de Wolff à la tête de la F1
Les Accords Concorde le stipulent
On vous rapportait hier que Chase Carey envisageait son propre remplacement à la tête de la Formule 1 après 2020, et qu’il était prêt à donner cette place à l’actuel directeur de Mercedes, Toto Wolff, dont le contrat dans l’équipe arrive également à terme fin 2020.
Toutefois, Forbes et son journaliste spécialisé dans le business de la Formule 1, Christian Sylt, assurent que Ferrari pourrait avoir son mot à dire : "Un point crucial qui a été négligé est que Ferrari a son mot à dire dans le choix de la personne qui deviendra directeur exécutif de la F1."
Une capture d’écran des Accords Concorde montre en effet que, selon les termes négociés par Bernie Ecclestone, les propriétaires de la F1 "doivent obtenir le consentement écrit de Ferrari" avant de nommer officiellement un PDG.
Plus précisément, cet accord écrit doit être donné si le candidat au poste "a tenu un rôle de direction ou un intérêt de participation d’au moins 5% dans une équipe" dans les cinq années précédentes, ce qui est évidemment le cas de Wolff puisqu’il est directeur et PDG de l’équipe Mercedes, et qu’il en possède 30 %.
Si l’on ne sait pas l’avis de Ferrari à ce sujet, cela montre une nouvelle fois les clauses fantaisistes auxquelles Bernie Ecclestone était prêt à céder face à Ferrari pour que la Scuderia reste en F1.
F1 - FOM - Liberty Media
Domenicali en visite en Thaïlande en vue d’un Grand Prix F1 à Bangkok
Plusieurs pilotes en danger d’être suspendu pour un Grand Prix !
La Commission F1 va évaluer l’attribution de points pour le top 12
Domenicali : Techniquement, nous pourrions faire 25 Grands Prix de F1
+ sur F1 - FOM - Liberty Media