Fernando Alonso admet ne pas bien connaitre le Paul Ricard
Une seule course en Formule 1 pour l’Espagnol
Fernando Alonso pilotera à nouveau une monoplace bleue en France, où il retrouvera le Circuit Paul Ricard pour la première fois depuis 2018.
Sur les terres de l’équipe Alpine F1, l’Espagnol voudra poursuivre sur la lancée de son meilleur résultat de la saison, une sixième place obtenue en Azerbaïdjan.
Ce sera votre neuvième Grand Prix de France de Formule 1, le deuxième au Circuit Paul Ricard. Avez-vous hâte de retrouver cette épreuve ?
J’ai toujours aimé courir en France. J’y ai signé de bons résultats en F1 et dans d’autres catégories, mais je ne connais pas très bien le Circuit Paul Ricard comme je n’y ai disputé qu’une course en F1. La piste a été resurfacée avec quelques petites améliorations que nous allons découvrir au début du week-end. Le tracé propose de nombreuses sections rapides et le dixième virage sera amusant avec ces Formules 1 modernes. Il y a beaucoup de dégagements, donc les erreurs sont moins susceptibles d’être punies par les rails qui nous entourent. Ce sera différent de ce que nous avons vu à Monaco et à Bakou et j’espère que nous pourrons offrir un beau spectacle aux fans.
Les deux derniers tours à Bakou étaient passionnants, comment était-ce au volant ?
C’était très divertissant et j’ai revu plusieurs fois les images embarquées ! Nous avons eu un peu de chance que le drapeau rouge regroupe tout le monde pour un départ arrêté, mais nous avons saisi cette occasion. Il faut savoir tirer profit de ces moments dans une saison. Notre choix de pneus était intelligent et il semble que nous ayons eu de l’adhérence dès la relance pour effectuer quelques dépassements audacieux au premier virage. Le T5 n’est pas un endroit où vous pouvez normalement tenter quelque chose, mais nous l’avons fait et cela a fonctionné. Avec du recul, notre rythme de course était un peu en deçà et nous devons comprendre pourquoi. J’étais en tout cas content de repartir de Bakou avec de gros points et un résultat bien mérité pour l’équipe.
Vous avez déjà signé de belles performances en France. Quelle est votre préférée ?
Pour des raisons évidentes, je dirais la victoire à Magny-Cours en 2005. Nous avons mené dès le départ, j’ai pu rentrer aux stands et ressortir devant tout le monde. C’était mon cinquième succès de la saison, le sixième pour Renault, et nous avons su maintenir cet élan essentiel le reste de l’année pour gagner les deux titres. Remporter les 24 Heures du Mans par deux fois était également particulier et je n’oublierai jamais ces beaux souvenirs. J’espère que nous pourrons en créer d’autres ce week-end au Circuit Paul Ricard.
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