En difficulté, Albon ne veut pas blâmer sa Red Bull
"Il y en a une qui a fini 2e..."
Ce fut à nouveau un après-midi difficile pour Alexander Albon lors du Grand Prix d’Espagne. Le Thaïlandais a eu beaucoup de problèmes avec les pneus sur le circuit espagnol et n’a pas hésité à fortement critiquer Pirelli à l’arrivée.
Albon indiquait que chaque train de pneus, même les durs, ne pouvait tenir correctement plus de 6 à 7 tours sur sa voiture... alors que Max Verstappen a réussi à les faire fonctionner et à terminer 2e de la course, entre les Mercedes.
"Pour être honnête, la gestion des pneus n’a pas été un problème pour moi cette année. Je ne veux pas blâmer la voiture, car il y a une voiture qui a fini 2e, celle de Max. C’est difficile à comprendre, mais nous devons regarder les données et découvrir ce qui en est la cause et trouver une solution pour la prochaine course," explique le pilote Red Bull, à froid.
"Je ne sais pas ce que c’est exactement, mais c’est le contraire de Silverstone. J’ai eu le même problème que lors des qualifications, mais en bien pire."
Pour l’instant Albon garde le soutien de Red Bull, comme Pierre Gasly l’an dernier, avant la pause estivale. Mais, quand Spa 2019 est arrivé, tout avait changé ! Si un mauvais rythme de course s’ajoute maintenant à son écart systématique de 4 à 6 dixièmes en qualifications, craint-il la même chose que le Français, à savoir être rétrogradé chez AlphaTauri ?
"Ce n’est pas à moi de répondre à ça. J’entends ce que disent Christian et Helmut à la presse, j’ai leur soutien. Je ne suis pas évidemment dans la situation la plus favorable qui soit, à lutter avec Max en course, mais je sais que je peux y arriver."
Red Bull
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