Formule 1
Domenicali confirme que la F1 discute pour un Grand Prix en Afrique
Mais le renforcement aux USA semble plus plausible pour le court terme
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Lorsque l’on évoque le calendrier de la Formule 1 sur le long terme, deux continents sont souvent cités comme clés de l’expansion du sport.
Il y a bien sûr l’Amérique du Nord, où Liberty Media souhaiterait avoir une course supplémentaire, aux USA, mais aussi l’Afrique, où la F1 n’est plus représentée depuis le dernier Grand Prix qui s’est tenu à Kyalami en 1993.
Stefano Domenicali, le nouveau PDG de la F1, a repris ces deux dossiers légués par Chase Carey et compte bien les résoudre. Mais dans quelle mesure ces aspirations sont-elles réalistes ? Est-il si important pour la Formule 1 de courir sur tous les continents ?
"Je dirais qu’il est très important que nous ayons un championnat du monde," explique l’Italien.
"En ce qui concerne l’Afrique, des discussions sont en place, mais je ne suis pas encore en mesure de dire où vont finir ces discussions."
Les États-Unis, mais aussi la Chine, restent des marchés très importants pour nous. En Chine, nous ne sommes qu’à Shanghai et nous devons pousser notre stratégie, car c’est un grand marché avec un grand potentiel."
"C’est une situation malheureuse que l’année dernière, nous n’ayons pas eu la course à Shanghai et que jusqu’à présent cette année nous ne soyons pas en mesure d’y retourner à cause de la situation actuelle."
"Mais s’il pouvait y avoir un créneau cette année pour récupérer cette course, nous devons être flexibles. Les États-Unis sont une autre région à fort potentiel et nous allons développer cette région, espérons-le, à court terme."
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