Alonso : L’Alpine F1 n’avait pas de gros point faible
Une seconde d’écart sur la Red Bull qui se cumule ’un peu partout’
Fernando Alonso n’a pas cité de points faibles particuliers chez Alpine F1 au moment de quitter l’équipe française pour Aston Martin F1.
L’équipe française n’a pas réussi à signer de podiums cette saison mais a assuré la 4e place au championnat des constructeurs malgré de nombreux problèmes de fiabilité qui ont souvent exaspéré l’Espagnol.
Ce dernier pouvait toutefois compter sur une A522 assez rapide et homogène, de quoi donner des espoirs à Esteban Ocon et Pierre Gasly.
Invité à identifier les domaines dans lesquels Alpine F1 perdait en moyenne une seconde par tour face à Red Bull, Alonso a déclaré : "Un peu partout !"
"Il n’y avait pas de gros point faible sur l’Alpine, à part la fiabilité. La seconde d’avance de Red Bull était constituée de la somme de nombreux petits avantages. Plus d’appui, moins de traînée, plus de puissance, une meilleure gestion des pneus, des arrêts aux stands, l’exécution des procédures de course."
"Ils sont plus rapides dans les lignes droites et dans les virages, ce qui est très difficile à réaliser dans cette nouvelle ère de la F1."
Aston Martin F1 est confrontée au même problème et Alonso a revu ses attentes à la baisse.
"Il faudra peut-être un certain temps aux équipes de F1 pour combler l’écart avec les leaders."
"Vous ne pouvez pas rattraper cela en un an. Mais j’espère qu’une ou deux équipes dont la mienne seront prêtes dans deux ou trois ans."
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