Alonso aborde le Canada avec le record de la plus longue carrière en F1
Se créer de nouveaux souvenirs à Montréal
Fernando Alonso revient ce week-end à Montréal, pour disputer son dix-septième Grand Prix du Canada.
Détenteur dorénavant de la plus longue carrière de l’histoire de la Formule 1, l’Espagnol est impatient de poursuivre sur sa lancée des deux dernières courses et de terminer dans le top dix pour la quatrième fois d’affilée à Montréal.
Comment résumeriez-vous votre week-end à Bakou, avec une nouvelle septième place ?
Septième, c’est un bon résultat pour nous. Je pense que nous avons tiré le maximum de notre voiture et maximisé les opportunités offertes par les abandons des Ferrari. Nous avons dû gérer les pneus avec précaution, plus encore avec la configuration faible appui pour laquelle nous avions opté. Mais cela nous a permis d’être difficile à attaquer dans les lignes droites. Nous avons pu reprendre du terrain après l’arrêt au stand et repousser assez confortablement les assauts des McLaren, qui nous suivaient en fin de course. Il nous faut cependant approfondir encore notre compréhension de la voiture et savoir pourquoi il y a tant de différence entre le vendredi et le dimanche.
Beaucoup de gens parlent d’une piste inconfortable à Bakou. Qu’en avez-vous pensé ?
Notre voiture gère assez bien l’effet de rebond inhérent aux nouvelles monoplaces. Je ne l’ai pas trop ressenti à Bakou. Nous étions davantage concentrés sur la gestion de la dégradation des pneus, surtout des pneus arrière. Cela va être différent sur chaque circuit. Par exemple, à Djeddah, le revêtement était très lisse. Tout comme en Australie, où personne ne s’est plaint. Il va être très difficile pour toutes les équipes de s’accorder sur des changements.
Vous êtes maintenant le pilote ayant eu la plus longue carrière en Formule 1. Comment faites-vous pour continuer à évoluer à un niveau si élevé ?
Oui, je suis heureux d’avoir établi ce record. Je pense que 21 ans au sommet, qu’il s’agisse de sport automobile, de basket-ball ou de tout autre sport, c’est un accomplissement de taille. Cela demande beaucoup de passion, d’autodiscipline et de sacrifices au fil des ans. Mais tout cela en vaut la peine. Je suis heureux d’y être parvenu et ce n’est pas fini !
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